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Opposés en affaire et dans les idées. [Pv : Anna Janowski]

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Dim 8 Aoû - 12:04 (#)


   
Opposés en affaire et dans les idées.
[Pv : @Anna Janowski]

HARLEY-


J'entre à la suite de l'agent en uniforme qui m'ouvre une puis deux portes verrouillées jusqu'au couloir sombre et puant du coin "gardes à vue" du commissariat. Rien de bien différent des établissements que j'ai fréquenté en Irlande. Je me demanderai toujours comme les flics - Faolan, à une époque - peuvent supporter ces conditions de travail. Sans soulever le sujet fâcheux et délicat de leur attitude parfois discutable, ils ne bénéficient pas d'un cadre idéal. Je détestai retrouver des clients au commissariat à Dublin, le problème sera le même en Louisiane apparemment.

Une fois quelques papiers signés, j'attends que l'on entraîne mon mis en cause jusqu'à la petite salle prévue pour les auditions. J'ai droit à un temps limité pour lui expliquer les détails procéduraux et surtout entendre sa version des faits : encore un cas qui oppose un CESS a un citoyen intolérant. Je vais garder mes opinions pour moi, me faire le plus intègre possible pour classer ce dossier sans bruit - en m'assurant bien sûr qu'aucune injustice ne soit commise à l'encontre de mon client.
Suite à l'entretien individuel nous aurons surement une confrontation avec l'autre parti...

La mallette dans une main, le téléphone dans l'autre, je patiente en lisant mes messages jusqu'à ce qu'une silhouette se détache de celles des policiers à l'entrée du couloir. Je devine sans mal que la nouvelle arrivée est avocate. Elle ne se range pas du côté des médecins et me jauge avec déjà trop de sévérité pour qu'il en soit autrement ;
Une aura sereine et talentueuse se dégage de cette jeune femme vers laquelle je m'approche :

" Maître Rawne, enchanté. Vous venez pour l'agression de cette nuit ? "

Un type s'est jeté sur un autre. Il prétend avoir été menacé. Le second, mon client, affirme que son agresseur s'en est pris à lui pour la simple raison qu'il le pense CESS. Les deux protagonistes ont été séparé par une patrouille et sont derrière les barreaux depuis deux heures.

Je tends une main polie, décidé à ne pas me mettre le moindre juriste à dos : ma carrière reconnue au pays n'est probablement rien ici. Je dois faire mes armes comme un débutant. Si je ne vais rien lâcher, j'attends de voir le tempérament de ma consœur avant d'être offensif.
...
Qui sait, on va peut être s'entendre ?
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Anonymous
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Dim 8 Aoû - 16:50 (#)

Une épouse fortunée dont le mari s’est retrouvé en garde à vue pour avoir attaqué une personne qui est supposément une créature surnaturelle. Voila l'objet du coup de téléphone qui me fait travailler si tard. Visiblement l'épouse du client a vécu à Chicago et me connaissait de réputation, elle m'a presque suppliée de tirer son mari de ce mauvais pas. Après avoir reçu un acompte j’ai pris un taxi pour me rendre au commissariat.

Le bâtiment est triste et terne,  grouillant de policiers en uniformes allant et venant comme des insectes autour de leur nid. Je grimpe les marches et traverse rapidement le hall jusqu’à l’accueil. Mon apparence impeccable tranche avec celle des gens – au mieux quelconques, au pire minables – qui patientent sur les quelques sièges disponibles. Je fais un sourire poli et professionnel à l’officier derrière son guichet d’accueil. « Bonjour, je suis Anna Janowski, l’avocate de Monsieur Lloyd qui est présentement en détention. » Inutile d'en dire plus, l'officier connait la procédure. Il pianote sur son ordinateur, demande confirmation à son haut-gradé et finit par me faire un geste pour que je suive son collègue. Mes talons claquent à la suite des pas rythmés de la jeune femme en uniforme qui me fait passer les diverses sécurités et m’amène dans une pièce avec mon client que je découvre pour la première fois. La quarantaine, d’une carrure imposante et d’un ventre qui ne l’est pas moins, tendant le tissu de sa chemise blanche. L’aspect d’un homme d’affaire un peu défraichi par les quelques bières qu’il a bu au bar après le boulot. Je me présente et il m’expose les faits en vociférant. Il buvait avec ses collègues et au moment de rentrer chez lui il a croisé un homme parlant de ‘magies et autres merdes dans ce genre-là’. Mon client l’a pris à parti, ils ont commencé à se disputer puis les choses ont dégénéré. Il termine son récit furieux, arguant que les monstres de ce genre n’ont rien à faire dans notre bonne société. Je lève une main et lui fais signe de se calmer puis commence à fouiller dans mon sac pour en tirer des pastilles à la menthe et lui en donner une.

« Bien. Calmez-vous. Pour commencer prenez ça. » Il ouvre la bouche pour protester mais je ne lui laisse pas le temps de parler. « Votre haleine sent l’alcool et ce n’est jamais une bonne chose quand on veut passer pour quelqu’un de raisonnable. » Il a l’air peu convaincu mais prend finalement la pastille. Je croise mes mains et me penche sur la table avec un sourire aimable. « Ecoutez-moi bien, vous ne pouvez pas vous comporter comme ça et espérer vous en tirer.
- Mais…
- Vous voulez que je vous sorte d’ici ? » Il hésite un instant, comme se rappelant soudainement où il se trouve et ce qu’il risque. La peur semble prendre le pas sur la colère et il répond dans un souffle. « Oui…
- Bien. Alors faites ce que je vous dis. Tout d’abord, du calme et de la mesure. Vous êtes un honnête citoyen qui a eu peur pour sa sécurité et celle des autres et vous avez fait ce que vous pensiez juste pour vous protéger d’une menace. Vous devez garder une image impeccable et irréprochable. Alors réajustez-vous et remettez votre veste pour rappeler l’honnête travailleur que vous êtes. Lors de l’audition, pas de mouvement brusque, pas de geste nerveux, pas d’éclat de voix. Calme et mesure. » Mes clients dans ce genre d’affaires sont généralement impétueux et impulsifs – et parfois de sacrés crétins également – typiquement le type de comportements qui étaye les accusations d’agressions et rendent une condamnation difficile à éviter. S’ils sont perçus comme des hommes violents incapables de se contrôler, alors tout est fichu. Il commence à essayer de lisser sa chemise tout en remettant docilement sa veste puis se recoiffe pour ressembler de nouveau à l’homme d’affaire qu’il est la journée, quand il ne fréquente pas les bars. Je penche légèrement la tête sur le côté en le regardant bien dans les yeux pour être sûre qu’il ait bien tout saisit. « C’est bien compris ? » Il prend une lente et longue inspiration puis la relâche au même rythme, décrispant ses épaules au passage. Il hoche lentement la tête en signe d’assentiment. « Bien. Si vous arrivez à rester calme, à avoir l’air inoffensif et que vous me laissez parler, tout se passera bien. Bientôt on va avoir une confrontation avec l’autre partie pour retracer les faits. Alors surtout, vous restez bien calme et vous me laissez parler. Vous pensez que vous pouvez y arriver ?
- Parce qu’en plus il faut qu’on se retrouve dans la même pièce que cette aberration ?!
- Monsieur Lloyd, qu’est-ce que je viens de vous dire ? » Le ton est sec et cassant, comme celui d’une maitresse d’école éreintée qui est lasse de répéter plusieurs fois la même chose. Le client se calme un peu en pinçant les lèvres et répond : « Il faut que je reste calme et que je vous laisse parler. » Au moins j'ai affaire à un client docile et pas à une tête brulée qui n'écoute pas mes consignes. Satisfaite, je jette un œil à l’heure. « Parfait. On a plus le temps, la confrontation va commencer, alors faite un effort. La suite en dépend. »

Il acquiesce et très peu de temps après un autre officier vient nous chercher pour nous mener dans la salle d’audition. Parmi les personnes présentes j’identifie celui qui semble être l’avocat de l’autre parti, ce qu’il confirme en se présentant. Je lui offre un sourire des plus professionnel, de ceux qui parfois font que les gens me sous-estiment avant de se faire écraser. Je n’ai pas eu le temps de me renseigner sur mon adversaire, n’ayant même pas eu accès à son nom jusqu’à maintenant et je ne connais pas encore bien les avocats de cette ville pour avoir un quelconque a priori. D’habitude je préfère connaître un peu les gens qui s’opposent à moi, mais il faudra faire sans cette fois.

« Enchantée, je suis maître Janowski. En effet, je suis là pour la rixe qui a eu lieu cette nuit entre nos deux clients. »

Après tout, des coups ont bien été échangés par les deux parties – quand bien même ce fut mon client qui était à l’origine du pugilat. Je salue les deux autres personnes présentes, l’inspecteur en charge de l’enquête et la personne que mon client a attaqué, le supposé CESS, donc. Ce dernier me gratifie tout juste d’un hochement de tête et l’inspecteur me serre la main. Le policier s’adresse alors à nous d’un ton calme et las.

« Bon, maintenant que tous le monde est là, veuillez prendre place, nous allons retracer les faits. »

Mon client et moi-même nous asseyons d’un côté de la table, mon adversaire et son client s’installent en face de nous et le policier tire une chaise pour se mettre sur le côté, posant son dossier sur la table métallique. Il se tourne vers notre côté et commence :

« Maître Janowski, votre client a été arrêté devant le bar Denise’s en train de se battre avec le client de maître Rawne. Il est accusé d’agression. Il a refusé de dire quoi que ce soit et a uniquement réclamé son avocate. Pouvons nous avoir la version des faits de votre client à présent ? »

Monsieur Lloyd est légèrement crispé mais ne fait pas l’erreur stupide de prendre la parole. Pour le moment il suit mes consignes à la lettre et s’efforce de ne pas passer pour l’homme alcoolisé qui se serait attaqué à un inconnu pour des raisons intolérantes.

« C’est très simple. Mon client buvait un verre avec ses collègues après une journée de dur labeur et quand il est sorti pour retrouver sa femme et son jeune fils il a entendu le client de monsieur Rawne ici présent tenir des propos inquiétants et préoccupants pour la sécurité de tous. Etant un homme droit et honnête, mon client l’a confronté à ses propos avec calme, mais ils en sont venus au mains, avant que, fort heureusement nos forces de polices viennent les séparer. »

Voila la version de mon client, celle dont on ne démordra pas. Aucun mensonge, peut être une réalité très légèrement édulcorée mais rien de plus. Un brave père de famille inquiet qui a cru bien faire et s’est laissé dépasser par les évènements. Une histoire simple auquel tout le monde ou presque peut adhérer.
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Dim 22 Aoû - 14:18 (#)


 
Opposés en affaire et dans les idées.
[Pv : @Anna Janowski]

HARLEY-

Après l'entretien avec mon client, quelques minutes en tête à tête pour élaborer un semblant de plan, je laisse l'agent de police ramener l'homme au visage tuméfié jusque dans sa cellule. En attendant que la partie adverse se présente, je prends le temps d'envoyer un message à Lucy puis de partager un café avec deux des flics. La conversation n'est pas bien profonde et lorsque l'inspecteur vient me chercher pour la confrontation je m'échappe avec plaisir de cette ambiance pesante.
Ça va être compliqué de s'attirer la sympathie des forces de l'ordre de ce pays dont j'ignore tout.

Je croise enfin la juriste de la partie opposée.

« Enchantée, je suis maître Janowski. En effet, je suis là pour la rixe qui a eu lieu cette nuit entre nos deux clients. »

Jeune, elle dégage une intelligence fine et une répartie appliquée. J'apprécie. Dans sa présentation à première vue banale, la jolie Janowski n'oublie pas de rappeler que nos clients ont, tous les deux, mis un pied sur la limite dangereuse nommée infraction.
J'acquiesce, tant pour répondre à la salutation que pour enregistrer l'information : elle a l'intention de défendre son client agressif. Soit. Je ne vais pas me laisser impressionner par une première de la classe...

Je prends place aux côtés de mon client, face à cet abruti d'anti-CESS. Et sa défenseuse en herbe. En guise d'arbitre : le flic. Les cernes sous les yeux de l'officier de police et son air désintéressé me laisse penser que l'affaire sera vite régler. Il va falloir être aussi efficace que possible. Les dés sont jetés.
Honneur aux dames ;

« C’est très simple. Mon client buvait un verre avec ses collègues après une journée de dur labeur et quand il est sorti pour retrouver sa femme et son jeune fils il a entendu le client de monsieur Rawne ici présent tenir des propos inquiétants et préoccupants pour la sécurité de tous. Etant un homme droit et honnête, mon client l’a confronté à ses propos avec calme, mais ils en sont venus au mains, avant que, fort heureusement nos forces de polices viennent les séparer. »

L'homme que je défends serre les dents et je sens dans son regard choqué qu'il se retient de protester. Comme je le lui ai demandé.

" ... Nous n'avons pas besoin que vous dépeignez le soit-disant portrait irréprochable de votre client, maître." Je jette un œil à l'enquêteur qui pour le moment, me laisse la parole. " Qu'il soit père et salarié ne fait pas de lui un être droit et honnête. Il n'y a pas de public ici ni de jurés, qui tentez vous de séduire ? "

" Maître Rawne ; "

" Je suis venu défendre un homme victime d'une pure discrimination. L'individu si "droit et honnête" ici présent s'en est pris à monsieur Baldwin lorsqu'il a remarqué les explicites signes de ses capacités surnaturelles. L'élément déclencheur de la rixe n'est autre que de l'intolérance moyenâgeuse. La chasse aux sorcières est terminées, les arcanistes ont des droits notamment ceux de se déplacer librement sans être inquiété par des gens comme vous. "

Dis-je en plongeant mes orbes noirs dans ceux du vis à vis. Mon ton est calme et posé, fort et mesuré, engagé mais surtout professionnel. Il ne faudra pas que je perde mon sang froid.
Bizarrement, j'essaye de ne pas prêter attention à l'avocate. Je ne comprends pas ce que je redoute ; juste la crainte d'être déconcentré par son charmant visage.
Qui sait ?

Avant que quiconque prenne la parole, l'inspecteur soupire et fait face à la jeune femme :

" Maître Janowski ? Vous parliez de propos inquiétants, pouvons-nous savoir lesquels ? Ont-ils vraiment laissé penser à votre client qu'il était en danger... ou lui ont-ils juste permis de comprendre que monsieur Baldwin est un CESS ? "
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Ven 27 Aoû - 11:05 (#)

Le client de mon adversaire n’est pas suffisamment stupide pour crier au scandale en entendant ma version des faits. Comme c’est dommage, il aurait perdu toute crédibilité en s’énervant et on aurait pu laisser le doute sur la personne qui a réellement donné le premier coup, mais visiblement mon confrère l’a bien préparé à cet entretien. D’ailleurs, celui-ci se trompe en m’affirmant qu’il n’y a aucun public avec nous. Il y a toujours un public. Dans notre cas ce cher inspecteur de police, maître Rawne lui-même et son client. Gagner l’assentiment du policier facilitera les choses, quant aux deux autres si je parviens à les faire s’emporter ils perdront en crédibilité et cela aidera bien mes affaires. Le fait que l’inspecteur se soit senti obligé de rappeler à l’ordre l’autre avocat est déjà un bel avantage pour moi et je gratifie le policier d’un sourire reconnaissant pour son intervention chevaleresque, quoi que limitée à simplement apostropher mon adversaire. Dans notre métier il n’est jamais réellement question de justice, il s’agit d’avantage d’apparences. Mon collègue le sait, son ton est calme et posé, mais ses mots ne le sont pas. Il m’ignore presque, focalisant toute son attention sur mon client, ne prenant même pas la peine de donner sa version des faits et se contentant de l’attaquer sur ses opinions supposées. Je pourrais certainement en tirer un avantage, la police est une institution remplie de personnes n’appréciant pas nécessairement ce qui sort de l’ordinaire. L’inspecteur reprend la parole pour obtenir plus d’informations sur le déroulement de la soirée. Je leur rapporte alors le sujet initial ayant causé l'altercation selon mon client.

« Monsieur Lloyd a clairement entendu Monsieur Baldwin parler de magie et de sortilège, mais c’est uniquement lorsqu’il a commencé à se réjouir des évènements d’halloween que mon client est allé lui demander de s'expliquer, craignant comme tous le monde dans cette ville qu’une telle situation ne se reproduise. »

A vrai dire, halloween a bien été évoqué avant le début de l’altercation, mais le déroulé n’est pas aussi clair. Il y a fort à parier que mon client très sanguin et colérique serait tout de même aller se confronter à cet homme sans ça. Halloween – bien que nul ne sache vraiment ce qu’il s’y est passé – reste un évènement terrible et traumatique qui a scarifié cette ville. Sa simple évocation fait se crisper le policier qui devait être aux premières loges quand il fallait ramasser les cadavres. Même les plus fervents pro-CESS ont bien du mal à ne pas serrer les dents face à la réalité de cette nuit-là. Je tourne mon attention vers l’autre avocat et m’adresse à lui d’un ton calme mais froid, collant parfaitement à ma déclaration.

« Vous trouvez ça discriminant vous dites ? Je n’y vois qu’une personne qui s’inquiète qu’une autre se réjouisse d’un attentat.
- Ce n’est pas la question qui nous amène ici. »  Le policier est tendu et ne souhaite visiblement pas que l’on lui rappelle cette sombre nuit d’octobre, ou bien il a une conscience professionnelle impressionnante et une grande capacité à se reconcentrer sur le problème en cours. Il s’adresse de nouveau à moi.  « Vous dites que Monsieur Baldwin parlait à quelqu’un ? A qui ? »

Je me contente de hausser les épaules et de secouer la tête, lui faisant comprendre que je l’ignore. Mon client ne m’a pas donné d’information à ce sujet et ils n’étaient plus que tous les deux – entourés par une foule de curieux avinés et avides de bagarres – quand la police est arrivée pour les séparer et les embarquer. L’inspecteur porte son attention de l’autre côté de la table, là où sont assis l’autre avocat et son client.

« Maître Rawne, quelle est la version de votre client ? »

Voilà qui promet d'être intéressant. On en apprend toujours beaucoup sur la ligne de défense de l'adversaire en entendant sa manière de conter les faits. Qui plus est, il ne peut pas se permettre de romancer les évènements à ma manière sans se voir traiter d'hypocrite au vu de sa remarque précédente. Dans un métier basé sur le fait de gagner des gens à sa cause, se restreindre au froid d'une description concise est rarement appréciable.
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