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You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam

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When witches don't fight, we burn
Rhil Trasam
Rhil Trasam
When witches don't fight, we burn
You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam Tumblr_pp5hccDMhm1tr84wbo5_540Are we magic or science ?
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En un mot : Like he's smart. But so so stupid.
Qui es-tu ? : You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam Jnws4iBT_o You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam MtCf9VNo_o
You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam XbLgRSRE_o
Facultés : • Mage rouge
• Thermokinésie
• Artisan du feu
• Chercheur magique
• Scientifique
• Apprenti tatoueur.
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You can't make fire afraid

Pseudo : Elorin
Célébrité : Charlie Hunnam
Double compte : /
Messages : 731
Date d'inscription : 31/08/2019
Crédits : avatar jenesaispas • animation myselfsquared.tumblr • moodboard awona • signature astra + nightblood + jenesaispas
Mer 4 Sep - 22:29 (#)

Rhil Trasam
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Date et lieu de naissance
Shreveport, 15 juin 1980.
Nationalité
Américaine.
Profession
De formation, il est ingénieur en thermodynamique, spécialisé dans ses applications aérospatiales. A ce titre, il faisait également une à deux interventions par semestre à l'université de Shreveport - il a repris contact avec l'université, officiellement en thermodynamique, plus hésitant aux possibilités de développement de la science arcaniste. Depuis la Révélation, le mage boucle plutôt ses fins de mois par son propre artisanat, durant un temps des embrouilles jusqu’au coude, recherche de reliques magiques et combats illégaux : les multiples jobs "à la mission" qu’il a pu prendre cette dernière décennie sont plutôt des conséquences plus ou moins directes de ses recherches en magie. Aujourd’hui, il est artisan élémentariste, travaillant en partenariat avec le Tesseract, où il commence à apprendre l’art du tatouage magique.
Lieu d’habitation
Autumn Woods & Sud de Shreveport. Au sud de Shreveport, à la lisière, la maison familiale a les deux pieds dans le bayou, c’est là qu’il a grandi, entre la terre, l’eau et les feux-follets. Il possède également un appartement moderne à Autumn Woods, acheté avec son salaire d’ingénieur il y a 15 ans, pied à terre où l’on est jamais sûr de le trouver.
Situation financière
Quitter son travail d’ingénieur n’était pas une riche idée – depuis c’est beaucoup plus compliqué, surtout de financer ses recherches qui l’obnubile, mais il a épongé ses dettes d’étudiants et a l’illusion d’être libre. Pour cela, il est prêt à tout, Icare qui n’a jamais appris que le feu finit par brûler, par consumer. Il n’a aucun souci du matériel, se satisfaisant de peu : ses livres, et son feu, éternel débrouillard – et sa mère, Faith, s’inquiète pour lui, l’empêchant de tomber en plein vol faute de moyens, le ventre creux et la tête pleine d’étoiles.  
Apprentissage
D’une enfance de feu-follet à aujourd’hui, Rhil s’est glissé dans son apprentissage de la magie comme si de rien n’était. Il ne cesse d’apprendre, de découvrir, son esprit insatiable décortiquant sa pratique, son apprentissage comme le reste du monde. Il affine sans cesse ses capacités, et n’hésite jamais à expérimenter – il en porte les stigmates brûlés sur le cœur, la lueur dansante au fond des yeux. Son apprentissage s’est fait naturellement ; d’un père arcaniste, mage de feu comme lui, élevé au contact d’autres mages, l’éveil de sa kinésie s’est fait sous surveillance, très tôt.
Magie
Mage élémentaire, le feu bout dans ses veines. Il pratique un artisanat du feu – il confectionne amulettes et objets pyrogravées, enchantements, poudres, et explosions. Depuis peu, il s’est lancé dans une nouvelle lubie, apprenant à graver dans les chairs des tatouages magiques, du bout de pointes incandescentes et enchantées ; Rhil est un scientifique autant qu’un mage et il a appris à mettre à profiter le point de fusion entre les deux ; ses outils autant que ses doigts lui servent à créer,thermo-kinésie achevée par la science, qui emprunte aussi à sa propre chaleur vitale. Il cherche sans cesse à utiliser l’un pour l’autre et l’autre pour l’un. Pourtant, si on devait orienter sa magie selon les couleurs, elle serait entre le rouge et le banc. Lui ne pense guère en ses termes, puisant ses forces où il le peut, éponge à émotions, sensations.

Clan
Son allégeance ne va qu’à la communauté de mage qui l’a vu grandir et s’épanouir. Il s’est rapproché du Juggler’s Bazaar, sans vouloir y vendre son âme : Il veut simplement pouvoir s’abriter sous leur protection, si besoin était, et avoir accès à leurs propres compétences, caméléon qui troque son travail en échange. En réalité, si Rhil se défend de faire partie de ce clan, ses actions parlent pour lui ; par les mots, il est indépendant, par l’action il adhère complètement au Bazaar.

  • TEMPÉRAMENT
    Caractère Scientifique sauvage, feu-follet turbulent. Son esprit scientifique, logique, rationnel est en butée avec la sensitivité de son tempérament. L'assurance souvent confondue avec l'arrogance, il singe une attitude nonchalante, l'oeil étincelant, petit con plein de malice et de morgue, prêt à dévorer le monde tout en tenant la porte aux vieilles dames et en causant équations complexes, capable de s'émerveiller comme un enfant. Il a vieilli ces dernières années, son visage s’est refermé, le sourire ne suit plus toujours les paillettes dans ses yeux. Devenu grave, enfin, la voix qui tremble, prise d’accents de velléités tranchants, de conscience de sa propre mortalité, des conséquences qui vont avec la connaissance.
    Il n’accepte pas les limites qu’on lui pose. Rhil veut comprendre, persuadé que rien n’échappe à la science, aux lois de la nature. Arcanes et surnaturel ne sont que des lois scientifiques à découvrir, la nature, la physique régnant dans tout l’univers selon ses propres règles. Il a appris tôt par la magie, que rien n’échappe aux lois de la nature et à son règne impitoyable.  Il est obnubilé par ses recherches, par ce qui le passionne : lorsque sa décision est prise, il est impossible de l’en empêcher, têtu comme une mule envers et contre tout, y compris son propre instinct de survie. Lorsque quelque chose échappe à la logique, et à son contrôle il y a deux possibilités : soit il essaie de le comprendre et de découvrir ce que c'est... soit il panique, soudain projeté hors des sentiers connus.
    La curiosité tue le chat, la satisfaction le ressuscite. Il a toujours un pourquoi et un comment au bord des lèvres, une question en appelle une autre. Une porte fermée lui est insupportable, il veut tout savoir surtout ce qu’il devrait ignorer. Conséquence néfaste, le scientifique tombe souvent sur des ennuis plus gros lui, multipliant les mauvaises décisions. Le danger, l’incertitude lui plaisent ; l’excuse des arcanes a perdu de la crédibilité avec le temps, s’il se bat, s’il se prend dans la tronche et est incapable de tenir sa langue quand il le faudrait, c’est bien lui-même qui doit être blâmé.
    Il a toujours au coin des lèvres un sourire amusé et moqueur, et des commentaires trop futés, équivalent d’un grammar nazi à l’oral. Ses sarcasmes mal reçus deviennent des provocations, tandis que l’homme semble toujours sur le point de partir en courant. Humble, il a cependant du mal à se taire lorsque quelqu'un dit quelque chose de, à ses yeux, passablement stupide devant lui. Et ce n’est pas les multiples poings dans sa gueule qui lui ont fait apprendre de ses erreurs (puisque ce ne sont pas des erreurs justement, paraît-il) L’hyperactivité diagnostiquée très jeune n’est enrayée que par sa capacité à se concentrer de façon absolue lorsque quelqu’un pique son intérêt. S’il continue à gigoter, il oublie tout le reste, de dormir, manger, se laver s’il le faut. La prudence la plus élémentaire aussi. Du genre à relire des équations pour se calmer, il est perfectionniste, acculé par la peur de l’échec, terrifié de n’être pas à la hauteur.
    Terrifié tout court ; c’est un lâche. Faiblesse intrinsèque de son caractère, il a compté chaque fois qu’il a pris la fuite devant un danger, un obstacle – têtu, inconscient, souvent, parfois, lorsque ça compte la peur prend le dessus, l’empêche de réfléchir. On ne peut pas lui faire confiance – combien l’a-t-il entendu ces mots durs jetés à son visage ? Combien de fois a-t-il répondu en partant, encore ?  Il le sait, ce bât impardonnable qui blesse. Il tente de colmater les brèches, conscient d’avoir tout à prouver. Rhil est attentionné, doux, gentil, lorsqu’il prend la peine d’y penser. Il se rouille, oublie, puis réalise, les yeux écarquillés, son erreur et essaie de se rattraper. C’est par lâcheté qu’il se donne tant dans son boulot, dans ses études. Personne ne le regarde ni lui pose de questions quand il réfléchit. Il aimerait être meilleur qu'il est, et être un homme bien, mais est sans doute un peu trop lâche pour ça. Belles paroles, bel esprit, s’il sait se jeter sous des poings sans hésiter, lorsque l’engagement compte, il n’y a plus personne. Il est le premier à le regretter.
    Les émotions à fleur de peau, il a du mal à encaisser et prend tout toujours trop à cœur, dans la peine, la joie ou la colère. C’est comme une conséquence de sa curiosité : il veut tout ressentir de la manière la plus forte possible, tout explorer.
    Avoir une sucette ou une cigarette en bouche ne parvient pas à le faire taire, et il est bavard, impossible à réfréner.  Malicieux, il affiche toujours un sourire en coin, et se moque souvent gentiment, plein de joie de vivre et d’énergie, de sarcasme et d’ironie mordante aussi. Espiègle, il mérite tout autant le sobriquet de petit con : d’une apparence assurée, séductrice il voit chaque emmerde, chaque autorité comme un défi à relever. Narquois, joueur, il déborde d’idées à la con certifiées bonnes idées par son intellect. Il est l’exemple type qu’un haut QI ne vous rend pas plus intelligent que la moyenne et qu’on peut toujours être un désastre. Il ne sait pas dire non à un défi, à une provocation – encouragé par sa chance insolente… il devient insolent.
    Il semble parfois jouer un rôle cachant ses insécurités sous une bonne dose d’assurance, voire d’arrogance.  Capable de se tirer de la plupart des situations par sa gueule et son vocabulaire, il a une tendance assumée au bluff. Pendant longtemps, il utilisait sa beauté, son charme pour profiter d’autrui – il essaie de s’améliorer, il essaie de l’éviter. Pourtant, ce fut longtemps son modus operandi, pour obtenir ce qu’il voulait comme quelqu’un dans son lit. Il a besoin d’intimité physique avec autrui, dormant mal seul, mais n’apprécie guère les relations même brèves, on ne compte plus les partenaires qui se sont réveillés au milieu de la nuit pour le voir en train de bouquiner dans le salon.
    Il aime lire, pouvant rester plonger dans un livre des heures durant en oubliant le monde. Il bricole constamment, ayant besoin d’occuper ses doigts, réfléchissant par le mouvement et les essais. Débrouillard et imaginatif, il déteste s'ennuyer plus que tout au monde : cela seul le rend agressif et mordant. Le prendre dans ces moments où il n’arrive à rien, où son esprit chafouin tourne à vide et où rien ne l’intéresse c’est risquer de se prendre un livre ou un chat en pleine face, pour tomber ensuite sur Rhil la gueule en sang, parti évacuer sa frustration là où le soleil ne brille plus. Au contraire, lorsque le calme prend d’assaut ses traits c’est qu’il pense à autre chose, ennuyé par vos propos, son esprit divaguant vers des domaines plus intéressants. Les gens le ralentissent. Le domaine où il peut se montrer changeant est bien le partage de son savoir : certains jours, il voudrait partager sa passion avec n'importe qui, les yeux brillants, comme un enfant devant un spectacle de magicien. D'autres, il sera renfermé, et vous enverra sur les roses avec une misanthropie qui ne prend pas de gants.
    Malgré sa rouille sociale, son manque de souci des usages, il a bon cœur. Il veut bien faire. Il revendique une indépendance qui prête à rire quand on voit comme il a toujours vécu : en communauté. Il a besoin, physiquement, d’être en connexion. S’il peut être irascible, il n’hausse jamais la voix : elle porte toujours la même nuance joueuse, taquine, qui savoure un fruit défendu et ronronne comme un feu de cheminée au fond de sa gorge. Il a bon cœur, malgré sa rouille sociale, malgré son manque de souci des usages.
    Mais son retour à Shreveport l’a trouvé changé, plus sombre, plus taciturne, vibrant parfois d’une peur et d’une colère, indignation qui n’a pas de cause ni de nom. Il a appris – cela lui brûle les lèvres, mais ce sont des cicatrices qui ne sont pas présentes que dans sa chair. Parfois, il y a dans sa voix un cri qui se refuse à percer, le besoin d’être entendu, le besoin de faire comprendre qu’il a raison, qu’il n’est plus l’adolescent inconscient qu’il était. Il mérite d’être pris au sérieux. De l’enthousiasme débridé, il est passé à une détermination mordante. Son côté je sais tout devenu plus sage, il rétorque non plus pour avoir raison mais pour marteler ce qu’il pense être vrai, toujours aussi cinglant, impatient, mais gagné d’une sorte de lassitude, d’un tremblement incandescent dans sa voix, d’un feu retenu qui a peur de voir le jour. Il n’est pas prêt à s’impliquer, mais il a presque quarante, il n’a plus le luxe de se cacher derrière ses cahiers et jouets, et il continue à apprendre chaque jour qu'être bon, qu'être sensible, ne veut pas dire être vulnérable ou faible. Il apprend à fermer sa gueule, ne pas rectifier, ne pas avoir le dernier mot – choisir ses batailles. Mais de plus en plus souvent ce n’est pas pour le plaisir de l’insolence qu’il mord le pavé, mais bien pour une bonne raison, oubliant qu’il crève de peur, jouant au preux chevalier.  
  • UNE JOURNÉE DANS VOTRE PEAU

    Rhil gagne sa vie en fabriquant grigris, artifices et artefacts. Ses amulettes pyrogravées sont vendues autant aux humains qu’aux CESS, cœur en bandoulière, conscience lucide de ce que c’est que d’avoir peur. La protection est son fonds de commerce, des enchantements qui brûlent ceux qui touchent le porteur sans son accord aux poudres explosives, aux amulettes qui chauffent en présence d’ennemis.  Il aime expérimenter, enchanter, tester. Les échecs sont nombreux, incalculables, il en porte de nombreuses marques dans sa chair. En prime des tatouages sur lesquels il tâtonne, il travaille sur d’autres manières d’enchanter : piercings, bijoux, bombe au poivre ou maquillage, il sort des sentiers battus.
    Ses journées sont vouées à ses recherches et au danger de livres trop près du feu. Des milliers d’alarmes incendies plus tard, livres et Rhil ont survécu. Il dissèque la magie, cherchant à bousculer la culture du secret des arcanistes, cherchant à comprendre. Chaque minute de ses journées est occupée, brûlant la chandelle par les deux bouts. S’échinant à ne plus pouvoir penser.  La méditation. Courir au travers de Shreveport. Travailler dans son atelier ou fouiner dans des livres réchappés d’une inquisition qui brûlait ce qu’elle jurait ne pas reconnaître l’existence. Son appartement est encombré jusqu’au plafond de livres anciens, sauvés par le sang et la suie. Il code ses propres recherches, les rendant illisibles, préservant les confessions qu’il a obtenu. Il cherche à tout savoir de la magie, en dépasser les limites par amour de la connaissance, fonder une nouvelle branche de la science – ce n’est pas qu’il est un mercenaire du JB, ou qu’il sert parfois de guide ou protecteurs à d’autres chasseurs d'artefact – c’est qu’il veut récupérer au même endroit d’autres informations, faisant équipe ou acceptant le capitalisme pour ses propres objectifs.
    La nuit, on peut le trouver au Mad Dog. Le matin tôt, aussi, à suer, à se briser les poings contre un sac de sable, les marques des bandes ne s’estompant jamais sur sa peau puisqu’il ne se laisse jamais assez de repos. Mais la nuit oui, il se bat, il parie. Il ne trouverait de toute façon pas le sommeil sans s’écraser sur son lit perclus de fatigue et de douleur. Son esprit s’emballe, incapable de trouver le repos autrement que dans l’extase pure, expérience hors de son corps. Celui-ci réagit plus vite que lui, les réflexes du mage sauvant sa peau sur la corde raide.  
    Il a passé sa vie à voyager, a apaiser en vain sa soif de connaissance par les livres, les rencontres, l’errance. S’il aimait son métier d’ingénieur, par sa capacité à créer, à appliquer, il ne la regrette pas, incapable de rester derrière un bureau. Il a eu son lot de combines à monter pour le bien de sa curiosité, d’aventures de mercenariats – si parfois, l’envie le taraude à nouveau, la peur finit bien tôt par lui rabattre le caquet.
  • Caractéristiques de race

    Il avait détesté voir le feu danser sur ses mains. Le feu détruit, le feu ravage, il ne construit rien : il dévore. Il ne protège pas, il n’aime pas. Il voulait être fils du vent lui. La pilule avait été dure à avaler, la bile bloquée dans sa gorge, les larmes brûlantes sur ses joues d’enfant, la nappe de feu à la surface du marécage.
    Il avait détesté le visage déçu de son père lorsqu’il avait hurlé ces inepties à sa tête. Que les mages incandescents n’étaient que des meurtriers. Un jour sur deux, il le déteste encore, ce feu qui immobile ceux qu’il tient d’un peu trop près.
    Son père après tout était comme lui, bien qu’une, ou des centaines de conversations profondes avec lui ne pouvaient vous l’aiguiller. Quel était le lien avec la douceur de cet homme, son sourire toujours calme, ces mots réfléchis et le feu ? Son père était les braises. Le foyer. La chaleur qui vous enveloppe. Le feu qui est toujours là, impossible à éteindre, qui s’étend graduellement, souterrain. Celui qui transcende les pommes de terre.
    Rhil tenait lui plutôt du feu-follet par son caractère, et clairement de la forge pour sa technique.
    A dix ans, il s’éveille. Son père fut plus son mentor qu’un père véritable, habitué à faire des outres des mages. Tout au long de son adolescence, il apprend à maîtriser son don sous le regard de son père, la fumée de sa pipe.
    La kinésie de Rhil se fonde sur le corps, ses mécaniques biologiques, sa chaleur et surtout l’énergie du mage – ses émotions et ce qui l’entoure en ce là il pratique une magie rouge. Au-delà de la physicalité de la magie rouge, à laquelle sa magie répond bien, Rhil pratique la magie blanche. Par sa volonté de bien faire, de faire le bien. De faire de son mieux. Parce qu’en tant que mage, il a passé sa vie à pratique des rituels en communauté, parce que la magie blanche lui permet d’être à l’écoute de la nature. Parce que la puissance des astres dans la pratique arcanique le fascine – après tout que sont les étoiles à part des corps de feu gargantuesques ? Malgré l’errement de sa vie, il se débrouille toujours pour participer aux cercles, aux rituels lorsque les dates clefs, célestes le demandent.  En tant que mage aussi, ce n’est pas des questions qui le taraudent. Et en tant que mage curieux encore moins : il teste tout, et ce qui marche le mieux.
    Suivant l’apprentissage de son père, autant que l’énergie infatigable de son corps, Rhil canalise l’élément par une pratique aussi physique qu’intellectuelle. Rester immobile est un concept abstrait pour l’arcaniste – il médite par le tai-chi et d’autres techniques de yoga qui lui permettent de canaliser son énergie, et l’extérioriser par le sport, la boxe principalement. Malgré ses efforts, sa magie file entre la rationalisation de son esprit, lui échappe, flammèche virevoltant dans le vent, tandis que les gestes, son corps, parvient à la transformer en autre chose.  S’il ne maîtrise pas complètement la thermo-kinésie, il l’utilise, généralement guidée par des objets, des outils, mais toujours au dépend de son énergie vitale. Il réchauffe son café éternellement froid, éternellement oublié, mais échoue à réchauffer sa peau lorsque l’épuisement le guette.
    C’est le contre-coup le plus palpable que son lien intense, intime avec son élément. Il a toujours les émotions à fleur de peau. Il s’agit de contrôler le feu toujours ardent en lui. Les erreurs sont possibles, toujours. Et au-delà, l’épuisement. L’équilibre est présent dans la nature, mais c’est une quête sans fin en lui. Il a déjà fait des hypothermies, à avoir trop tiré sur la corde. En fonction du soin qu’il prend à son hygiène de vie, à sa pratique de la magie, Rhil qui pourtant a naturellement chaud et le feu au bout des doigts, frissonne. Sujet aux fièvres, il lui arrive régulièrement d’être incapable d’assurer la propre température de son cœur.  
    Quant aux auras, ce n’est pas un domaine des arcanes qu’il a exploré plus que nécessaire, plus que par curiosité scientifique :  il voit ainsi la chaleur des corps, de leurs âmes, les résidus qui s’accrochent à eux, les frottements, l’énergie tout au plus.

  • AFFILIATION ET OPINIONS

    Révélé, Rhil a changé de vie. Du carcan métallique d'ingénierie où il vivait, il a repris sa liberté et ses ailes, retrouvant ses premiers amours, ses premières curiosités indomptables.  Son indépendance rebelle a pris le pli des mots martelés par ses parents, la fierté de la neutralité élémentaire. Ses priorités va à sa communauté, aux élémentaristes et aux éléments qui les entourent. Il n’a jamais accordé d’attention à l’IRAE, mais s’est intéressé depuis longtemps aux pratiques de l’église Wiccane, dont il reconnaît l’efficacité, et étudie le lien entre la magie et le mouvement des astres.
    Il ne prête allégeance au Juggler’s Bazzar qu’assez pour pouvoir leur vendre ses artefacts et bénéficier de leur protection au cas échéant. Le mage n’est pas à l’aise avec l’idée d’affiliation, de chaînes à ses yeux, même celles qui jure la liberté comme le Bazzar. Quant au cercle de mages dont font partie ses parents, il ne parvient pas à s’y sentir à l’aise, éternel adolescent turbulent à leurs yeux, l’homme qu’il est devenu leur étant étranger. Il aimerait s’impliquer dans la vie magique de sa communauté, trouver sa propre communauté, où pouvoir lier des liens. Mais chat échaudé craint l’eau froide, et il y a un nœud dans sa gorge à cette idée – en plus de ses soucis d’attention, d’engagement et de courage. Si la Révélation, avec ses nouveaux êtres qu'elle a révélé, ces nouvelles sources de magie, "d'anomalies" l'intéresse et multiplie sa curiosité, en tant qu'arcaniste, Rhil désapprouve la révélation. Elle le rend vulnérable, il a l'impression d'être observé, jugé en permanence, paranoïa d'une enfance où on lui a appris à cultiver le secret. Si apprendre les secrets l'intéresse, il refuse de les révéler, brutalement prudent, conscient ses non dits de leurs castes, plus finaud que sa curiosité le suppose. La révélation lui fait peur.

  • Singularités
    BONUS
    Il ne peut être vu qu’avec une cigarette aux lèvres ou en train de claquer un zippo entre ses doigts, constamment —Son dos et ses bras sont recouverts de tatouages. La plupart ne sont pas magiques si ce n’est pour leur signification personnelle. Des constellations, des étoiles, mais d’autres traits sont imbriqués dans sa peau, dans un méli-mélo d’encres emmêlées. Ils sont d’origines variées, ayant été faits par des tatoueurs d’origines diverses, de part le monde, ou par lui-même, pour commémorer à la fois ses découvertes magiques et ses voyages. Comme il code son grimoire, il code certains de ses souvenirs, certaines de ses pratiques dans sa peau. Les tatouages magiques qu’il porte à sa peau lui servent avant tout de protection – aidant sa peau à cicatriser, à endurer la douleur, mais il en porte également un censé apaiser ses émotions, lui permettre de faire refluer l’anxiété au creux de son poignet, un autre pour aider sa mémoire. Une partie de ses tatouages, qui plus est magiques, est réalisé dans une encre qui n’est visible que dans le noir – ceux-là se trouvent sur son avant-bras gauche, où est avant tout visible des traces de brûlures, et une sorte de tatouage noir, comme ayant brûlé sa peau — Si c’est la cicatrice la plus importance, il en porte d’autres, nombreuses sur tout son corps y compris son visage, visibles sous certains éclairages ou angles ; cracher du sang dans une ruelle, tomber d’un arbre droit dans le bayou, ou cacher de l’argent en se faisant défoncer sa petite gueule d’ange sont des manies chez lui — Il a la manie de jouer avec ses doigts et les nombreuses bagues qu’il porte — La pratique d’arts martiaux est quotidienne et Rhil s’efforce de mener une vie saine… à l’exception du sucre, du café et des cigarettes (curieux de savoir ce que la cendre et la fumée finiront bien à faire à ses poumons, lui qui fait corps avec son élément). Rhil ne boit jamais d’alcool, sobre et lucide, un peu trop à son goût. L’habitude a été prise d’abord par peur de laisser échapper ses pouvoirs, puis pour prendre de l’avance à l’université. Maintenant, c’est une habitude ancrée en lui que de tremper à peine ses lèvres dans les verres, presque un instinct de survie. — Il croit en la déesse Noût, croyance adoptée lorsque son père l’a embarqué au Moyen-Orient. Il porte une amulette autour de son cou, confiée par un arcaniste égyptien de son enfance. Les astres, les éléments, le maintien de la voûte céleste accompagnent ses mouvements, bien que l’enchantement initial doit être depuis longtemps dissipé, comme le dessin de la femme soutenant la voûte céleste de son dos, à être poncé de son pouce et de ses tics — Goût particulier pour le sucre, l’homme qui approche de la quarantaine ne sait cuisiner que les desserts —Sales, crasseuses, de guignois, Rhil porte des lunettes ou est censé le faire, mais elles disparaissent souvent dans le capharnaüm de son esprit et du lieu ; en conséquence il souffre régulièrement de migraines. — Il prend soin de sa barbe, de ses cheveux, mais de son apparence globale, pas vraiment, indifférent à sa propre apparence. S’il est constamment propre sur lui, il porte des vêtements simples et légèrement débraillés, ayant dormi avec, sur sa table de travail. — Il est doué pour le dessin, même si ses esquisses finissent toujours par servir de marque-pages. — Il garde une apparence nonchalante et assurée, mais est incapable de trouver le repos. Il est toujours en mouvement, et ses mains ont sans cesse besoin de toucher quelque chose, triturer sa barbe, ses cheveux, ses vêtements… autrui. Il est un peu trop tactile et a le contact facile. —Ses mains sont constamment entaillées de microcoupures — Son côté tactile et sa belle gueule sont sans doute ce qui lui permet d'avoir des conquêtes, car il est invraisemblablement nul au niveau sentimental. Mâle, femelle, non binaire, ce n'est pas ça qui l'intéresse - la beauté est une chose qui attire son attention, mais c'est l'intelligence, ou le caractère différent de ses interlocuteurs qui le séduisent. Il est capable de vous écouter parler pendant toute une soirée, vous charmer dans ses bras, passer une nuit avec vous pour commencer à travailler à moitié nu sans plus s'occuper de vous au milieu de la nuit. — Il a toujours soit trop chaud, soit trop froid en fonction de ses niveaux d’énergie — S'il ne parle couramment que l'anglais, il a attrapé au passage des bribes de nombreuses langues, dont l'arabe, le persan, l'espagnol et le français, grâce aux voyages de son père et les voyageurs accueillis chez eux.
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Je suisinventé BlaseElorin VisageCharlie Hunnam. SagesseDix ans de plus que Mara. Découverte :haha: . Présence7/7 Avis  :judging: Crédits jenesaispas pour l'icon, gif tumblr et hedgekey pour l'avatar Mot de la fins'ilvousplaîtaimezmonbébé
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Hypothetically speaking at which point fire becomes too much fire ?
“Some humans would do anything to see if it was possible to do it. If you put a large switch in some cave somewhere, with a sign on it saying 'End-of-the-World Switch. PLEASE DO NOT TOUCH', the paint wouldn't even have time to dry.”

× Les bayous sont d’excellents endroits où élever des enfants à demi sauvages. Combien de fois a-t-il eu de la boue et de l’eau des marais jusqu’au cou, à suivre les feu-follets, mirages de lumière dans la fange qui imprègne jusqu’à ses os ? Will o’ wisp l’appelait sa mère, beuglant, le regard dirigé vers le bayou comme si les méandres de boue allaient lui ramener l’enfant terrible, qui avait perdu sa tête blonde à s’aventurer là où il ne fallait pas ? Leur maison a les pieds dans le bayou, et lorsque les brumes s’élèvent de sous la frondaison, elles pénètrent partout dans les chambres, vous prennent la gorge, et donnent à croire à tous ce qu’ils disent qui s’y cachent. Il a grandi en liberté, apprenant à éviter les tourbières et les animaux, à retrouver le chemin de la demeure comme un phare, à ne jamais s’aventurer au nord du parc, jamais. (De nuit encore aujourd’hui, c’est bien l’un des rares tabous qu’il respecte encore, parcourant la frondaison d’une forêt qu’il a appris à connaître comme sa peau. Jamais au nord, quand bien même il s’humecte la lèvre asséchée de curiosité et de frustration, la peur battant ses reins).

1991 ×  Faith est sa mère et la maison ressemble à une jungle ou à un bois envahie de plantes qui tentent presque leurs feuilles vers l’astre solaire qui grandit en liberté. De sa mère, Rhil a appris la notion de refuge, et la certitude d’avoir toujours une racine où retourner. A ne jamais se laisser faire et ne jamais laisser le monde vous rendre dur, tendre la main. Et que, si l’on a une bonne raison, s’introduire là où on n’est pas censé être est tout à fait rationnel. Le père est insaisissable, oublié des souvenirs d’enfance. Il se souvient qu’il ne surgissait jamais seul, que les chaussures s’amoncelaient toujours sur le seuil. Plus tard, la rancœur d’être comme lui, d’être cet homme toujours en fuite, celui qui n’était pas là pour embrasser chacune de ses égratignures. Celui qui dévaste. Tu n’es revenu que lorsque je t’ai intéressé. Lorsque la nappe flottante à la surface du marécage a pris feu sous la rage inconsciente de l’adolescent prépubère. Les bras du mage l’enserrent sans visage, il sent la solidité de son père derrière lui qui le retient, l’empêche de glisser dans la boue, le feu se reflètent dans leurs yeux et sur leurs chairs, sa chaleur frôlant leurs bouches. Hypnotique dévastation dont un arbre témoigne toujours, charbon tenace, emblème de la maison. Ils ont passé la nuit à genoux sur la barge, à l’observer se consumer en silence, à observer l’enfant se briser comme un phénix une dernière nuit.

×   Effronté. Insolent. Impertinent. Bavard. Ne tiens pas en place. Les façons dont sur ses carnets s’étalaient l’atroce vérité (pose trop de questions) sont multiples. Cache-œil aussi divers que le sont ses questions. Il n’avait que ça à la bouche, jamais satisfait des réponses données. « Pourquoi » est intéressant, mais il ne suffit pas. Il as au cœur assez de chimères comme ça pour ne pas les exciter en plus d’un aiguillon métaphysique. Il sait pourquoi : science. Les mathématiques font sens, série de causalités qui s’enchaînent. Comment l’intéresse. Comment cela marche ? Comment cela fonctionne ? Comment l’améliorer ? Comment réaliser l’impossible ? Comment le faire ? Est-ce qu’il avait réellement besoin de démonter le grille-pain, la voiture, sa montre et celle de sa mère, se pincer la peau, se graisser les doigts et se brûler les cheveux ? La preuve de son audace gît décomposée entre ses mains d’artisan. Il questionne tout, ses pas dansant sur l’asphalte prêt à esquiver le gnon qui ne manquera pas de pleuvoir.

× Mathématiques A+. Physique A+. Chimie A+. Biologie A+. Anglais A -. Informatique A -. Discours A+. Education physique A+ ; Langues A-. Mécanique (option) A+. Education civique B+. Histoire-géographique A-. Si seulement Rhil Trasam savait rester immobile sur sa chaise, se mettre en rang et se taire en classe. Si seulement Rhil Trasam n’avait pas eu une heure de colle pour avoir fait des gestes obscènes dans le dos du surveillant qui essayait de lui ordonner quelque chose. Si seulement Rhil Trasam n’avait pas la sale habitude d’utiliser la discipline imposée sur son corps pour savoir se battre dans la cour.

Juin 1993 × Il va se brûler la peau au cagnard, ivre de la sensation de chaleur qui embrase sa peau. Debout dehors à l’heure où personne ne doit s’y aventurer, la peau d’une pâleur insolente, Rhil a les yeux clos pour ne pas contempler l’immensité du désert à ses pieds. L’astre brûle sa peau, craquèle ses lèvres, accorde son teint avec celui des sables autour d’eux. Rouvrir les yeux, c’est se soumettre au vertige qui bride son esprit d’un diadème cuisant. Les tissus qu’on lui a donné pour se cacher de la chaleur ont volé depuis longtemps du bout de ses doigts. Pour la première fois, il reconnaît avoir chaud – il a chaud, toujours. Mais cette fois il connaît enfin la sensation d’avoir trop chaud, le soleil assommant, terrassant, ne lui savoir où se mettre dans sa peau.
L’idée de son père cette année que de l’entraîner de l’autre côté d’un océan. Il vient d’avoir 13 ans et il s’est battu avec sa tête de mule habituelle pour rester l’été à Shreveport, travailler, préparer sa rentrée. Tout sauf subir les lubies de son père, encore un peu plus, lui qui l’oblige chaque matin à méditer avant l’aube, à s’entraîner pendant que le soleil accueil leurs mouvements en réchauffant leurs peaux encore endormies, apportant à leur organisme le feu qui les consume, le feu à canaliser. Son père lui apprend à devenir un mage, à manier le feu comme lui-même le cultive et Rhil ne veut pas.
Avant le soleil d’Egypte, Rhil ne parvient pas à mettre de mots sur ce qui l’isole, revêche. Ni la double vie ni le secret, ni les matins arrachés au confort de ses draps, ni les nuits à observer le bayou s’embraser du soleil couchant. La crainte de ne plus rien ressentir. La crainte qu’à contrôler ses émotions, elles étouffent. La crainte que derrière le calme de son père il n’y ait qu’une coquille vide, l’absence. Il s’était débattu contre ce voyage père-fils qui de l’Egypte voulait remonter la route de la Soie tout l’été. S’il n’est jamais là c’est qu’il fait partie de ces mages errants qui parcourent les routes à la recherche de mages isolés, qu’il rapatrie patiemment dans leur communauté, qu’il entraîne jusqu’à les relâcher dans le monde, oisillons de feu. Le mentor attire les disciples dans son sillage, et Rhil était jaloux de ceux que son père ramenait sous leur toit, vaste arche de Noé qui recueillait mages en quête de mentor, de cercles, d’une communauté. Que son père soit resté à Shreveport pour lui des années durant, après l’éclosion de ses propres pouvoirs faisait puruler la plaie.
Lorsqu’il revient à la nuit tombée, fraîcheur qui cause des frissons à sa peau carbonisée, baume sur ses brûlures, qu’il revient à la tente sous laquelle communient les mages de feu, c’est une communauté qui monte vers le ciel en étincelles colorées. C’est auprès d’une communauté qu’il tombe à genoux, épuisé. L’esprit trop assommé de soleil pour penser encore.

×  Au-dessus du désert, puis de la vallée de l’Hindou Kurch brillent plus d’étoiles que Rhil ait pu en compter, que sa mémoire absolue n’est capable de se remémorer. Chaque nuit, le mage referme les yeux et se souvient du spectacle de la voie lactée au-dessus d’eux, l’appel des astres qui pulse du même feu que celui dans ses veines. Un nomade lui parle de Nout, la déesse. Il passe les nuits à compter les étoiles et à penser à ce qui est au-dessus. Lorsqu’en septembre il revient en cours, il a changé, et ce n’est pas que la blondeur impossible de ses cheveux décolorés ni par le hâle qui crie la brûlure qui le dénonce. Il y a des étoiles qui refusent de s’éteindre dans ses yeux, au creux de sa peau, des premiers tatouages. L’insolence disparaît, l’élève est studieux, l’esprit accaparé par son rêve de toucher les étoiles.

1993 × Ses doigts sont pleins de sang. Il ne parviendra jamais à ôter le sang d’Ithan des rainures de la chevalière qu’il portait déjà au doigt. Il y a beaucoup de sang. Beaucoup trop de sang. Et le sang macule la poitrine d’Ithan, il n’arrête pas de couleur comme les larmes sur ses joues et c’est terrifiant. Il guide la flamme de son briquet jusqu’à sa peau, brûlant les tissus, arrêtant le sang, l’infection, les doigts tremblant au milieu des flammes. Ses doigts ne cessent de trembler que lorsqu’il les pose contre le cœur d’Ithan, et la cicatrice immonde qu’il a causée. Et la litanie d’excuses, le goût de la bile qui restera années après années. Le feu dévaste, le feu marque. Il avait raison en fin de comptes. Il doit grandir. Et le germe de la culpabilité, le germe de l’adulte, le germe de la prudence lutte pour prendre racines en lui. Et à chaque fois qu’il posera ses lèvres ou sa joue sur son torse, cela lui revient comme une vague, comme une gifle en plein visage. Son regard se fait tendre lorsqu’il observe en coin les scarifications de sa peau, mais celle-ci est un couperet qu’il sent dans sa propre chair.  Il pourrait croire qu’il ne rejoint ses bras que pour se souvenir, s’il n’y avait pas tout le reste. Ithan ne pourra jamais oublier son ami d'enfance, apparemment.

Septembre 1996 ×  Il guette les grilles de la cour, que l’on referme comme des geôles de prison. Son regard s’attarde sur ceux qui serrent leurs amis dans leurs bras, échangent déjà mots griffonnés des pages arrachées des agendas, pétarades de cours de récréation. La pile de livres qu’il tient contre sa poitrine n’est pas aussi lourde que ce qui se trouve à l’intérieur de son torse. Le bout de ses doigts est gelé, refusant de se décoller, de lâcher la reliure plastifiée des ouvrages de mathématiques et de chimie de 12th Grade. C’est la dernière année que Ithan et lui seront dans le même établissement, le jeune homme censé partir à l’université l’année suivante (il en a tracé des plans sur la comète, le curriculum voulu déjà inscrit à l’encre bleue, illisible comme un grimoire, sur la page intérieure de ses lèvres). Ithan a dix-sept ans lui, les cheveux déjà trop longs, qui donnent envie d’y glisser les doigts, de les empoigner, et quelque chose dans les yeux qui rabat le caquet de son ami d’enfance, la bouche asséchée d’idées à demi consumées. Rhil du haut de l’insolence de l’adolescence parcourt la cour d’un regard de chiot perdu. Il est seul. Seul à lire assis contre un mur, déchiffrant les équations du bout des lèvres, jusqu’à ce que le livre vole dans les flaques de l’automne. (Je ne t’apprends pas à te battre pour … - Pour que je me batte ? Quel intérêt de répéter des gestes millénaires pour le nez en sang et des livres pleins de boue ? Ils ont jetés mes livres à la poubelle – et tu as mis le feu à la poubelle ! – Je n’ai pas fait exprès, ils ont pris mes livres ! Je vais chez Ithan ! – Rhil. La voix calme, volcanique, pleine de cette force redoutable qu’il a appris à respecter et à aimer, la voix de la mère retentit et le force à s’arrêter dans la cuisine. Pourquoi est-ce que Ithan n’était pas là ?).

× J'ai trouvé un livre Combien de fois cette phrase a-t-elle été claironnée ? Le goût de l’antique savoir a commencé tôt chez Rhil. Par hasard sans doute, le premier. Des fables sur les sorciers et leurs savoirs, herboristerie gribouillée par les humains. Les livres lui tombent sur les bras, comme aimanté à l’intelligence un peu sauvage qui brille dans ses yeux, feu qui demande bois de chauffage et vieux journaux pour se transformer en phare. Il en a des colonnes et des piliers, 80% de son mobilier. Il y a les vrais, ceux qui parlent des arcanes et ceux qui parlent des mythes. Des mythes un peu trop vrais finalement, des hommes qui ont de la peau de loup sur le dos, des femmes romaines qui ne veulent pas mourir, de ce qu’il faut faire pour que vivants et morts restent séparés, et les exorcismes en latin encore pratiqués. Il y a ceux qui sont des légendes et parlent d’ails et de sorciers qui brûlent au bûcher. La plupart sont faux, tissés des croyances humaines, écrits par des humains. D’autres sont vrais, d’anciens chercheurs curieux dans son genre, de CESS qui ne portaient pas encore ce nom, qui ne comprenaient pas ce qu’ils faisaient, qui à l’encre et à la plume documentent ce qu’ils faisaient, ce qu’ils voient, tentent de transmettre à des descendants qu’ils n’auront pas le périlleux secret. Rhil les avale. Il expérimente chacune des mixtures, chacun des cercles qu’il rencontre dans les pages jaunies de champignon. Il y a des échecs, il y a des erreurs et des succès. Rhil prend l’habitude de rédiger son propre grimoire dans un code crypté qu’il est le seul à comprendre – si ce n’était Henri II qui aurait pris du Red Bull, évidemment. Inspiré des anciennes boîtes à chiffrer, le système des multiples cadrans alphabétiques et numériques a pris des anabolisants par l’intermédiaire d’équations mathématiques en guise d’alphabet, et d’un système non plus sous la forme d’un coffret énigmatique, mais d’un tatouage embrouillé dissimulé bien souvent sous des vêtements, qui depuis quelques années se meut sous la chaleur en prime. Si Rhil est un fervent défenseur du savoir, il n’a pas vraiment envie de donner l’occasion des ennemis des arcanes de les immoler en place publique.
En attendant, il s’en sert pour expérimenter et diversifier ses connaissances, sortir des chemins battus. C’est par ces collections qu’il a d’abord eu connaissance des chemins wicca de la magie blanche, dont ses parents n’étaient pas particulièrement adeptes à l’époque. C’est par ce biais, qu’il a lu, malheureusement, certaines pratiques de magie noire, encore aujourd’hui enfermées dans un coffre aux pentures soudées fermées. C’est par ce biais qu’il a découvert certaines pratiques, calendriers de magie blanche, tandis que dans le territoire maori, ou en bordure de bayou, lui et Ithan s’essayaient à leurs premiers apprentissages.

10 octobre 1998 ×   Les sourires d’Ithan sont rares, trop rares. Leur premier baiser a le goût de souffre et de chocolat et Rhil ne l’aurait échangé pour rien au monde. Au-dessus du jardin, éclatent les feux d’artifices, astres scintillants de couleurs. A manier la science et la magie, Rhil a créé des dragons et des vagues de feu qui incendient le ciel étoilé pour la première fois. Il est fier de son art, aussi fier que des couleurs chaudes qui illuminent le sourire de son ami, de ses exclamations qui semblent ramener son compagnon à la vie. Suffisamment pour lui donner l’insolence dans son propre sourire et se hisser sur la pointe des pieds joindre leurs lèvres comme un secret, les doigts enfouis dans ses cheveux.

×   Lorsqu’il pousse pour la première fois la porte du Mad Dog, le club de boxe ne ressemble pas vraiment à ce qu’il est aujourd’hui. Il ne pense pas non plus qu’il y trouvera le défouloir et l’extase qu’il vient y chercher comme un gnon sur la gueule. Il est juste curieux, indécrottable. Le caractère physique de ses arcanes est inscrit dans chacun de ses pas, dans sa manière de se tenir, toujours sensible à ses gestes, sa posture, ce qui effleure sa peau. Il était sûr de se défendre, homme-flamme apprenti des arts martiaux depuis l’adolescence. Les cours de boxe se révèlent autre chose, un goût d’infini et de sang. Par touches sur sa peau, les bleus forment des constellations. La peau pâle ravinée de cicatrices et d’encre comme autant de fulgurances, météorites et chiures médusantes forme la toile de fond. Les ecchymoses s’étendent comme autant d’étoiles. Les bleues, les brûlantes et douloureuses ; celles qui piquent le jaunâtre de l’astre qui s’éteint, paresseux comme les doigts sur la peau. Bleu, jaune, un violacé presque rouge, elles tacelent la peau et autour d’elles, s’enroulent les souvenirs d’encre, bleutée sous la lumière du soleil… !Il n’y a que les bleus qui valent le coup. Il ne parvient pas à les regretter, pas même sous les doigts d’Ithan lorsque son ami d’enfance remet en place son corps éprouvé, pas même lorsque sa mère s’attarde sur son dos et les bleus qui révèlent l’emplacement de ses côtes, au détour d’une tournée de linge sale. Ils tiennent moins longtemps que les souvenirs sur la peau, un peu plus longtemps que les sensations. Après un combat, au matin, se réveiller perclus de douleurs, avec dans la peau, la marque du contact de chacun des poings de tes adversaires. Perpétuer la petite mort une heure de plus, le temps d’une cigarette, d’une douche brûlante. Il y court à des étoiles, à ses ennuis.

Autumn woods 2005 × Il y a quelque chose qui cloche dans le large loft, aux baies vitrées hautes comme des arcades de cathédrale. Qu’est-ce qui met la puce à l’oreille ? La machine à café ? Constellée de taches de café brunâtre. Il n’y a pas de poussière pourtant, nulle part (asile trop touché, manipulé sans repos pour laisser les moutons se cultiver à leur aise). Ce décalage à quelques millimètres près de l’aisance et de la civilisation. Les larges baies vitrées sont tirées de rideaux opaques, où les mites ont formé des étoiles comme dessous une passoire. L’air vicié exulte isolement, relents d’encens, camphre et salpêtre, d’une intensité de parfumerie grabataire. Le parquet de chêne rêve d’immobilier n’apparaît plus qu’aux encoignures, comme pour s’excuser. Les tapis l’étouffent, sans une once d’esthétiquement correct : les textures et les teintes se font la guerre, mosaïque cabalistique de coton. Les murs de bibliothèques s’étendent comme des tentacules. Les piles n’ont plus besoin de squelettes de bois et de vis, elles jouent aux tours de pise contre les fenêtres, jouent aux colonnettes ioniques, avec en guise de chapiteau, des tasses de café vidées jusqu’à la dernière goutte. Reliures en guise de portique, elles font au chat une allée de papier d’où il méprise les savoirs anciens prêts à lui tomber sur les moustaches. Ce lieu était autrefois un bel appartement moderne, décoré avec goût. Puis Céos a fait passer le temps. Les centaines de bougies du capharnaüm doivent réveiller le concierge en pleine nuit, saisi d’un instinct de survie.
L’homme n’a pas dormi depuis… oh. Disons que c’est un miracle qu’il soit encore en vie. Le pantalon glisse de ses hanches, trop étroites. Lorsqu’il s’allume sa cigarette, l’embrasement n’arrive pas à la cheville de la lumière dansant dans ses prunelles, lucarne d’un autre monde. Inspiration - ses joues se creusent, mangée par la barbe dont la pointe projette une ombre de satyre sur le plancher. D’où lui vient le sang qui dégoutte de son poignet, le long de son avant-bras, coulis tiède qui dédouble ses veines ? Genre élite et canaille, il ressemble à un dieu solaire, illuminé des chandelles - auréolé de cheveux d’or pour couver au chaud ses chimères. Titan fiévreux, qui a veillé à son maximum - sa chemise trempée repose sur les bas-côtés, délivrant la large poitrine qui ahane le génie, exhale la science.

Il devait s’essayer à l’alchimie, il le devait, lui le scientifique né au milieu des arcanistes. C’est son lapin blanc, sa pierre philosophale, ses aliens, son rêve de gosse. Si l’Alchimie ne repose pas sur la magie ni la foi, si elle repose sur la science et les éléments transfigurés, sur les atomes, n’importe qui avec un peu de jugeote et surtout quelqu’un aussi au fait qu’un futur Dr. Trasam des règles de la physique, devait pouvoir y arriver, n’est-ce pas ? Cela heurte sa raison, dépasse sa logique, et comme toute chose qu’il ne comprend pas, il est incapable de lâcher prise. Pour lui, la magie, les arcanes, ou même les thérianthropes ne sont qu’un vaste volet, nouveau des lois de la nature. Les règles n’en sont pas encore connues, voilà tout. Ce n’était pas la première fois qu’il s’essayait à la pratique de l’alchimie. Mais de l’échec cuisant des fois précédents, cette fois, on est loin. Cuisant n’est pas le mot adapté, que lorsque votre directeur de recherche, après vos absences, après vos retards, vous retrouve dans le salon, inconscient. Il a essayé de tutoyer le ciel avec trop d’insistance. Combien de temps est-ce qu’il s’est battu pour repousser les limites ? Quelle chance a-t-il eu de ne pas juste périr dans un gigantesque incendie qui aurait emporté son appartement ? A quel moment l’excitation de la curiosité, la fébrilité était-elle devenue causée par l’hypothermie ? Être trouvé, le corps glacé, trémulant, à demi mort n’était pas vraiment la transfiguration qu’il espérait. Et devoir expliquer le pentacle gigantesque sur le sol à son directeur de recherche, un estimé confrère scientifique et terre à terre, pas vraiment quelque chose sur laquelle il aurait voulu travailler.

2006 × Il part sur les routes pour dire au revoir, étirer un peu le ciel sous ses pas. Quitter Shreveport avec l’idée d’y revenir une dernière. Le mage à Shreveport dans la peau, dans le corps ; l’équilibre avec la nature, son environnement lui a été inculqué jusqu’à devenir sa propre nature, et Shreveport représente son environnement naturel. Il en connait autant les rues que les forêts, mais il n’y a aucun avenir, pas dans sa branche. Mais il part, comme il est souvent parti depuis l’enfance ; avant, avec son père. Puis, avec Ithan, des étoiles plein les yeux, des rêves pleins la tête, du feu plein les reins. Maintenant, il part au Mississippi, travailler à atteindre les étoiles, purs corps de feu qui recèlent la plus grande magie à ses yeux. Il revient aux vacances, aux fêtes, aux réunions de son clan, quand il ne vadrouille pas un peu plus, avide de découverte.

x 10 000 x 8 = 80 0000 + le montant d’un appartement à Autumn Woods parce que si le doctorant restait coincer une fois supplémentaire dans le trafic à la sortie de Shreveport, il risquait de faire une sacrée connerie. Ses dettes s’accumulent, et même son salaire n’y tient pas. Comment est-ce cela avait commencé ? Une discussion dans un club de boxe, un premier combat parié, au MD ou dans le Mississippi ? Les hommes et les femmes dans les draps de qui il tombait comme un gamin tombe de vélo ? Effronté, il séduit, il entreprend. Il se brûle les doigts à leurs peaux à chercher une étincelle de chaleur entre leurs reins. Effronté, il ment, son bagou d’insolence l’auréole d’ardeur. Pourquoi veut-il toujours chercher ces femmes qui l’abandonnent dans ces draps sans un regard en arrière ? Pourquoi veut-il toujours l’homme le plus canaille du bar, brute capable de le tuer, étrangeté incompatible, inaccessible ? Il chercherait à se faire taire, à ravaler sa bravade, il ne s’y prendrait pas autrement. Il y a tous ces lieux et ces savoirs, ceux que ça le tue de ne pas pouvoir revoir, s’y rouler, y chavirer. Les imprimer dans la chair, se les approprier, pouvoir les activer d’une caresse, éclat statuaire animé par les muscles aventuriers. La vibration de la poitrine, l’immensité mal contenue dans les poumons. Est-ce que c’est pour cela son amour des mauvais garçons, qui lui fait fuir la seule personne qui le garde calme ? L’odeur des trous à rats merdiques, remplis jusqu’à la gorge de crapules et de raclures en tout genre. Le seul doctorant qui y passe ses soirées, cigarette au bout des doigts, le seul à être sobre aussi, ivre de nulle autre chose que les sensations jusqu’au vertige. Hanté jusqu’à la lie de la certitude qu’il doit partir d’ici ou comme d’ailleurs, que ce n’est pas sa place. Sur sa pommette rougit encore le dernier coup reçu, comme un blush qui accroche la lumière. Jouer des coudes et des épaules pour se faufiler parmi la masse des corps, prendre une bière à laquelle il ne toucherait pas, - l'oreille tendue sur les ragots, les menaces, les conversations badines, les propositions de job. La banque en veut à son argent et huit ans passés dans les livres ont creusés le ventre et les joues du mage.  Pour régler ses dettes, il se fait embrigader dans des histoires louches, il a du charme, il distrait facilement il sait se battre, courir vite. Ce n’était que ça, gagner de l’argent pour gagner sa liberté.

2012 - 2018 × Il avait une idée, aucun plan. Il avait quitté le centre spatial sans un regard en arrière. La Révélation passée, il comptait découvrir cette nouvelle science qui s’ouvrait à ses yeux, au-delà des confidences des tribus de mages qu’il avait déjà rencontrées. Faire à temps plein ce qu'il faisait à temps partiel, sur son temps libre. Se faisant une place par son charme et sa gouaille auprès d’autres pratiquants secrets, des CESS. Utilisant ses connaissances pour retrouver tel artefact, son esprit imprudent pour tel ingrédient. Récupérant ce qu’il cherchait lui-même au passage, ou analysant les artefacts, les démontant pour les comprendre avant de les rendre à son commanditaire. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’il ne tombe sur d’autres concurrents, plus nombreux, plus organisés, plus dangereux. Il s’en était tiré gracieusement, montrant le ventre, encaissant des dettes un peu plus. Le Juggler Bazaar était différent. Peut-être parce qu’ils étaient basés à Shreveport, comme lui. Peut-être parce qu’ils étaient autre chose qu’un gang doté de pouvoirs magiques. Rhil raconte qu’il s’était fait prié pour les rejoindre en tant que mercenaire – peut-être qu’il y avait eu des menaces, la première fois, de se retrouver à se marcher sur les plates-bandes de l’autre, okay. Mais dans l’ensemble le jeune homme s’était adapté, dorant comme une salamandre au coin du feu. Il faisait ce qu’il aimait, poursuivait ses recherches, et finissait de rembourser ses dettes, protégé autant que protecteur.

Septembre 2018 ×  Combien de fois s’était-il retrouvé au sol, à se relever sur ses poings dans une ruelle moite de son sang, les jambes cédant sous lui par peur de la mort ? A cause de sa grande gueule. A cause de sa bisexualité. A cause de ses livres. A cause de ses commentaires. A cause de sa magie, cela a mis le temps : fin 2018. Ils les ont suivis après leur virée en ville, comme des chiens des enfers sentant le sang, pas d’autres idées. Une communauté de mages, auprès de qui Rhil venait grapiller des idées, des rites, des légendes, des gestes. Cela faisait plusieurs mois qu’il vivait là, le bras encore endolori du tatouage qu’il avait cherché à faire sur sa peau, sous la surveillance de leur ancien. Leurs protections ne comptaient pas les balles. Les souvenirs se brouillent sous la chaleur, ondulent dans l’air aride ; le sang apparaît frais sur sa peau lorsqu’il fait du stop au bord de la route, près de Las Vegas après que sa moto ait rendu l’âme. Il ne peut pas s’arrêter de marcher. Il ne peut pas s’arrêter de fuir, le sommeil lui échappant par des bouffées de cauchemars. Est-ce qu’ils sont tous morts ? Est-ce que… il a fui. Il a couru sans se retourner dès le début de l’échauffourée. Il n’a aucune idée de ce qui s’est passé sinon du besoin primal de mettre la plus grande distance entre lui et ce qui a eu lieu. Qu’il est prêt à tout pour survivre, pour une nuit en sécurité, pour rentrer à la maison. Que la gueule en sang, les vêtements tâchés, le pas perdu, on s’arrête moins souvent pour lui offrir un trajet que d’habitude. Que la Louisiane est loin, que son effronterie de sale gosse marche à crédit. Les ennuis lui collent aux basques, l’enlacent comme des amants aux dents longues. Shreveport est son repaire, son refuge, il n’y est pas seul. Il ne se passe jamais rien à Shreveport.

×   Il y a un chat. Un chat qui squatte son appartement, guerre rangée entre le mage et le félin. Il a pris ses aises à l’intérieur pendant son absence, il ne sait trop comment, il accuse sa mère venue arroser les plantes qu’elle a elle-même choisi de poser devant les grandes baies vitrées durant l’absence de son fils. Rhil lui fait la guerre, chassant l’animal tous les jours, l’insultant de plus de noms d‘oiseaux que n’importe qui l’ait jamais entendu parler. En vain.

Décembre 2018 ×  Elle ne lui rappelle pas qu’il a son propre appartement et bientôt quarante ans ce soir-là lorsqu’elle ouvre la porte. Faith observe son fils et la voiture qui repart au bout de l’allée. Il n’y a pas la moto de son fils, mais il y a des points de suture mal faits autour de son arcade sourcilière. Il y a le sac sur son épaule qui ne tient plus que par un fil et la manière dont l’homme se tient, appuyé sur une jambe comme s’il ne voulait pas prendre de place sur son palier. L’homme. Le jeune homme disparaît malgré le petit sourire en coin, l’esquisse un peu tremblante du gamin pris en faute. Faith ouvre la porte pour laisser entrer son fils revenu de cambrousse, éreinté, le visage défait – mais à la place d’entrer, Rhil l’enlace et serre longtemps, perdu dans ses cheveux qui sentent bon l’humus, chez soi.
Qu’est-il venu rechercher à Shreveport, et chez ses parents ? Dans la chambre d’enfant, un mur est recouvert d’une peinture noire, aux constellations précises, l’autre de peinture ardoise où en craie prennent la poussière depuis vingt ans. Il s’y écroule en pyjama usé jusqu’à la corde, à rêver de retourner à l’époque où il habitait encore ces murs. Un refuge. Un endroit où se reposer. Où se refaire.
Au matin, il y a l’odeur du café et des pancakes qui cuisent et un oreiller envoyé par Faith depuis le pas de la porte. « - Tu ne resteras pas là, trouve un travail Rhill’o ! » Ce n’est pas juste, en substance. Est-ce qu’il a arrêté de travailler un seul jour ? Il n’a jamais connu le chômage, l’enfant prodige, à cumuler des cours qui passeraient facilement pour des arcanes magiques vu le nombre de chiffres et de lettres qui dansent sur le papier, et à ajouter les petits boulots le week-end, les cours de TD à donner, les travaux à rendre, le sport et surtout son apprentissage magique. Ce n’est pas juste non plus d’en tirer une fierté : c’est son seul moyen de fonctionner. Il a besoin de cumuler, de s’entraver chaque moment de liberté de choses à faire, de ne pas s’arrêter. Jamais. « - Ca ira. Je vais passer au JB… » « - Qu’est-ce que tu vas foutre avec ces profiteurs ? » Qu’il sache, elle ne donne pas des pots de plantes à tous les passants. Elle commerce, comme lui. Ils sont plus forts ensembles. Le ton de sa mère se fait plus tendre, plus las aussi, tandis qu’il fixe les étoiles de plastique luminescent vieillissantes à son plafond  De quoi est-ce que tu as si peur, Rhil ? »

CHRONOLOGIE
1980 Naissance à Shreveport dans la communauté de mage de Faith, sa mère.
1987 Rencontre avec Ithan Kawhena.
1991 Premières manifestations de ses pouvoirs, pris en charge par ses mages de parents.
1993 Remonte la route de la soie d'éveillés en éveillés avec son père qui prend en charge son éducation pour l'année. Premier tatouage.
1997 Découvre le Mad Dog et ajoute la boxe aux arts martiaux transmis par son père.
1998-2006 Intègre l'université de Louisiane où il reste jusqu'à avoir fini son doctorat, 8 ans plus tard. C'est aussi à cette époque qu'il prend un petit boulot au Sci-port Science Discovery Center de Shreveport jusqu’en 2003.
2003-2008 Doctorat donne des cours à l’université dans le cadre du contrat doctoral.
2004 S'achète une maison à Shreveport, à Autumn Woods, pied à terre qui sert longtemps de débarras pour ses livres et surtout pour assurer les cours qu'il donne en tant que doctorant en perdant le moins de temps possible.... sur son véritable doctorat.
2005 Accident du travail.
2006 Fin de ses études, il passe plusieurs mois sur les routes des USA avec Ithan.
2007 Il prend un poste au John C. Stennis Space Center, dans le Mississippi. Il continue ses propres recherches dans son coin tout en remboursement son emprunt étudiant.
2008 Après une "entreprise qui tourne mal" contracte une dette envers Azadeh.
2012 Une bonne partie de son prêt remboursé, la Révélation ayant eu lieu, il quitte son travail d'ingénieur pour prendre son sac à dos, son briquet et son grimoire par-delà les Etats-Unis, revenant étés et hivers à Shreveport.
2014 Est convaincu de rejoindre le JB comme mercenaire occasionnel plutôt que concurrent free-lance.
Juillet 2016 Hospitalisé au Nouveau Mexique après la bagarre au sujet le plus débile de l'histoire même pour Rhil : est-ce que les extra-terrestres existent ?
Juin 2018 Premier tentative de tatouage magique sur lui-même (échec.)
Septembre Fuit le désert de Mojave et entame le retour à Shreveport, à moto puis en auto-stop avec de nombreux détours.
Décembre 2018 Retour a priori définitif à Shreveport.
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That kid you called a weirdo
Hélix L. Moxley
Hélix L. Moxley
That kid you called a weirdo
WAKE UP SINNERS

En un mot : I'll drink the poison to find the cure.
Qui es-tu ? : You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam SUPS85Et_o
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Facultés : ☽ Voir les auras
☽ Aspiration des énergies, relâchement, stockage, balancer des énergies démoniaques à la gueule des connards
☽ Chasser des démons, esprits en tout genre et soigner les corps meurtris
☽ Faire frétiller des pantalons
Thème : Teenage Rock God - Rob Zombie
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THE DEVIL GET HIS DUE

Pseudo : Akira
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Crédits : Awona (ava) | Drake (signa) | Prima luce (icons)
Mer 4 Sep - 22:37 (#)

Tiens donc, je connais cette tête :hey:

Tu sais déjà ce que je pense de ce personnage, que je l'aime d'amour fort, mais j'ai quand même bien hâte de lire ce que tu vas faire de son histoire :keur: :moh:
De l'amour sur toi, tu vas tout déchirer :heart:
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Lilas Hirsch
Lilas Hirsch
"THE BOOTY" : la plus belle paire de France et de Navarre.
☽ YOU LEFT ME IN THE DARK ☾

"She was poetry in a world that was still learning the alphabet."


You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam WyLHcm2 You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam XUhs7fD You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam 0xQu1ZP

En un mot : Wild thoughts
Qui es-tu ? : ☽ Outre. Pouvoir qu'elle ne peut nier, l'amenant sans cesse à visualiser le monde sous un prisme différent de celui du commun des mortels. Agression visuelle, physique, sonore, olfactive, constante, d'une magie qu'elle voit en tant qu'entité propre.
☽ Artiste. Pour exprimer ses visions, elle s'acharne à peindre, sculpter, dessiner, ce monde qui l'entoure et qu'elle ne peut expliquer oralement.
☽ Née en France, en Alsace précisément, enfant non-désirée, d'une relation adultère. Ce sont ses grands-parents qui l'élève et son grand-père qui la forme.
☽ Elle déménage aux USA dans le but de retrouver cette mère qui l'a abandonnée, pour apprendre qu'elle est décédée, préférant ne pas se battre contre un cancer qui finira par avoir raison d'elle.
☽ Elle atterrit à Los Angeles presque par hasard, en suivant son compagnon de l'époque. Elle y rencontrera Vinzent, qui changera sa vie.
☽ Un début d'apprentissage arcanique inachevé au côté de celui qui deviendra son ami, son amant, son amour. Un rituel magique lie leurs âmes peu de temps après le décès de Léonard, le mentor de Lilas.
☽ Elle se laissera malmener pendant des années par un homme néfaste avant de finalement tout quitter pour rejoindre la Louisiane dans l'espoir d'y retrouver sa demi-soeur et peut-être Vinzent.
☽ Elle passe 2 ans dans un camp regroupant des femmes CESS avant de rejoindre finalement Shreveport, où elle retrouvera sa demi-soeur, Hannah Miller, et l'autre moitié de son âme, Vinzent Henkermann.

☽ NO DAWN, NO DAY ☾

You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam AdPjFI9 You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam USZhV3d You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam H0dVnoF

"your name i spoke many times
alone in the darkness in the night"

Facultés : ☽ Clairvoyance : Lilas a un niveau de sensibilité aux flux magiques qui lui permet de lire sous la surface des choses qui composent le réel. Cela se traduit par toutes sortes de stimuli cognitifs ou physiques. Son don est passif, elle vit avec un second filtre de vision constant.

☽ Psychométrie : En touchant un objet, qu’il soit magique ou non, Lilas peut en voir l’histoire, a qui il a appartenu, ce à quoi il a servi, tout ce qu’il s’est passé à son contact. La capacité n’est pas maîtrisée.
Thème : Cosmic Love - Florence + The Machine
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I'm always in this twilight


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"and prayed a thousand prayers
and my many dreams were of you"

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Mer 4 Sep - 23:01 (#)

:wii: LE POTOOOOO :cute:

J'adore ce que j'en ai lu pour le moment et j'ai hâte d'avoir son histoire et de le découvrir IRP et de faire plein de rp du love avec toi et je suis trop contente de le voir débarquer avec Ithan et voilà :cute:
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Anonymous
Invité
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Mer 4 Sep - 23:08 (#)

keurkeurkeur sur toi mon enfant :moh: évidemment qu'on l'aime ton bébé nanmého, on est pas des monstres :brille: bon par contre je valide pas le lancer de chat :eyes: sauvage.
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Anonymous
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Jeu 5 Sep - 10:14 (#)

Oh Jax :baav:  

Sympa ce début de fiche, j'ai hâte de lire la bio maintenant ! :bouya:

Je viendrai peut-être gratter un rp plus tard avec Liv :roll:
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Anonymous
Invité
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Jeu 5 Sep - 10:38 (#)

RHIIIIIIIIIIIIIIIIL. :gogol: BAGARRE. VODKA. AMOUR SUR TOI. :bravo:

Je suis si heureux de le (re)voir, hâte de lire la suite de la fiche et de jouer avec le petit nouveau. :green:
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MJ ۰ Trop de DC, pas assez de décès.
Rhys Archos
Rhys Archos
MJ ۰ Trop de DC, pas assez de décès.
L'IVRESSE SOLAIRE DU CRÉPUSCULE

You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam 3h4m You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam Ceip You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam Aii8

« Wild men who caught and
sang the sun in flight,
And learn, too late, they
grieved it on its way,
Do not go gentle
into that good night. »

En un mot : Furie et Fiel
Qui es-tu ? : Sans visage, une force animale grouillant sous une peau humaine qui s'étire, trop étriquée, n'attendant que de jaillir à l'intérieur du monde pour le ravager.
Facultés :
Troubles à l'ordre public ;
Outrages à agents ;
Attentats à la pudeur ;
Violations de propriétés privées ;
Ivresse sur voie publique ;
Expert du pistolet à clous ;
Vols de voitures ;
Faux et usage de faux ;
Briseur de vitrines ;
Bagarres ;
Fusillade de masse ;
Vol de poules ;
Thème : https://www.youtube.com/watch?v=L7a8hmoOsx0
ÉPITAPHE DES DIVAGATIONS SAUVAGES

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Ordures jetées à la poubelle :
     Yago x1


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Jeu 5 Sep - 18:52 (#)

Hello there :lovecat:




Adopte ces beaux scénarios !
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When witches don't fight, we burn
Rhil Trasam
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When witches don't fight, we burn
You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam Tumblr_pp5hccDMhm1tr84wbo5_540Are we magic or science ?
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En un mot : Like he's smart. But so so stupid.
Qui es-tu ? : You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam Jnws4iBT_o You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam MtCf9VNo_o
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• Thermokinésie
• Artisan du feu
• Chercheur magique
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You can't make fire afraid

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Jeu 5 Sep - 20:18 (#)

@Hélix L. Moxley Ramène ses fesses :brille: :brille:

@Lilas Hirsch POTOOOOO j'ai hâte de faire des bêtises et de voir dans quel mille-feu de drama je vais bien pouvoir le mettre  :diego:  :dildo:

@Kin Eastwood Spoiler : Rhil déteste ce foutu chat et cherche à s'en débarrasser :dildo:

@Serenity M. Strokes Merci je m'y mets  You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam 2135486406

@Bérislav I. Baranov BAGARRE  You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam 917569026   est-ce que la perspective de se faire rouler dessus par Béri est un bonus certain à faire Rhil ? Toujours bon à prendre

@"Rhys A. Archos" ..hello... there ?  :judging:  :judging:
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Anonymous
Invité
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Jeu 5 Sep - 21:54 (#)

:russe: :russe: :russe:
Rhil Trasam a écrit:
Il n’accepte pas les limites qu’on lui pose.


Pardon :facepalm:
Bienvenue :heart:
Je suis claquée ce soir :facepalm:
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Jeu 5 Sep - 22:06 (#)

J'ai plus le droit de dire bonjour :cry: ?




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Anonymous
Invité
Invité
Ven 6 Sep - 0:19 (#)

Ah finalement t'es bien collègue avec le nain ? :coucou:
Ca va être marrant ça tiens...

Bonne rédaction Mamie, éclate-toi bien avec ta nouvelle tête (... quand j'te dis ça à toi c'est comme si je parlais d'une tête sans corps c'est très perturbant) et sûrement qu'on se retrouvera en RP :wii:
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Anonymous
Invité
Invité
Ven 6 Sep - 23:27 (#)

Mamie a écrit:
Dix ans de plus que Mara.

Ma petite vieille de 12 ans :brille:

Je t'ai déjà dit que je l'aimais, mais je me répète quand même You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam 2135486406 parce que t'as le plus beau pyjama de tout Shreveport :lovecat:
Trop hâte de lire la fin de la fiche parce qu'elle envoie déjà du lourd et nom de diou, j'veux vous stalker Ithan et toi :eyes: alors vous bougez vos culs toutes les deux :baille:
(Re)bienvenu à la maison :cute:
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 7 Sep - 12:00 (#)

Hello ... ~ :classy: :adore:

Ma Dahlia va sûrement venir faire un tour pour un tatouage :aah:
Re-Bienvenue !
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 7 Sep - 21:31 (#)

Un mage de feuuuuuuu :mouton: :dédé: :loveyou3: Bienvenue par ici coupain, et bon courage pour la fiche!
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4B53NC3 - Have you ever considered piracy ? PS : J'ai les mollets concaves. CONCAVES !
Dana Campbell
Dana Campbell
4B53NC3 - Have you ever considered piracy ? PS : J'ai les mollets concaves. CONCAVES !



You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam 2JeQ7g8


Always code as if the guy who ends up maintaining your code will be a violent psychopath who knows where you live



En un mot : Mésadaptée
Qui es-tu ? : -
Propriétaire du ArtSpace
Electro-aimant à CESS
Geek
Codeuse émérite
Hackeuse
Socialement inapte
Presbyte
Vieille fille impulsive mais ultra riche sans que personne ne le sache.
Facultés : -
Craquer des codes.
Hacker des programmes.
Dénicher des choses.
Être étrange.
Ne pas se faire chier.
Être une bonne patronne.
Courageuse au mauvais moment.
Thème : Unbreakable - Stratovarius
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You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam NAVBAGJ

Totally not a virus.
Trust me...i'm only human.



You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam Hup4hTE
You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam 4kQahGB
You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam VDog9Te

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You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam F7jG54l

Neptune's Plague Fleet
- Pré-liens dispo -


You can't bring math to a fist fight | Rhil Trasam XDrpuKa

Pseudo : Latrine
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Crédits : vava (ℓι¢σяиє) / Moodboard(Mara) / Signature ( drake & me )
Dim 8 Sep - 15:51 (#)

Oh mais c'est quoi abandonner cette carrière topissime d'ingénieur en thermodynamique, spécialisé dans ses applications aérospatiales ?! :facepalm:

Citation :
LA BEAUTÉ EST UNE CHOSE QUI ATTIRE SON ATTENTION, MAIS C'EST L'INTELLIGENCE, OU LE CARACTÈRE DIFFÉRENT DE SES INTERLOCUTEURS QUI LE SÉDUISENT

helllllooooo :thuglife:

Allez ! Viens finir ta fiche qu'on se croise en jeu ! Bonne rédaction ! :heart: :heart: :heart:
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 8 Sep - 16:25 (#)

Mais ... J'suis même pas passé ici ???
Bon bah maintenant, j'suis là :perv:
*prépare les crackship avec Ithan*
Non sérieusement, Rhil a l'air tellement tellement cool :heart:
Il sort un peu des sentiers que j'ai pu voir déjà abordés avec la trogne de Hunnam et je trouve ça bien cool :moh:
Il dégage quelque chose de frais et aussi de très vif, j'suis fana du choix de la magie et du fait qu'il soit mage de feu, c'est si cool :cute:
J'espère vraiment qu'on pourra se trouver quelque chose et surtout, hâte de stalker comme il se doit :perv:
Re chez toi Mamie :cute: :heart:
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 8 Sep - 18:21 (#)

rha...mmbaaah :grumpy:
Ta plume, tes idées, Hunnam avec ces choix de personnalité et de chrono, je trouve perso que c'est du génie (jeudemotsnulpaskej'aiunhumourdemerde..) rebienvenue au bercail, c'est beau, t'es belle, avec Ithan ça prometbordel et l'histoire que je meurs d'envie de lire, pourquoi cette torture comme ça :biensur: :biensur:
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Autiste Ier - Première dame du Chaos :
Yago Mustafaï
Yago Mustafaï
Autiste Ier - Première dame du Chaos :"La chair fraîche c'est kascher" ; Coucou, tu veux voir ma papillote? Signé Shéhérazade aux cuisses rondes.
Chaos is everywhere.

En un mot : Ombre atemporelle, Cauchemar éternel, Murmure d'Orient.
Qui es-tu ? : • Vampire de 120 ans, homme-siècle venu d'ailleurs, infatigable nomade. Éternel étranger à la peau hâlée.
• Infant de Salâh ad-Dîn Amjad, dont il partage les aspirations destructrices. Renégat, il rejette en bloc la Mascarade et ses règles castratrices.
• Foncièrement psychotique, ses attitudes décalées et ses humeurs lunatiques sont le reflet de sa psyché défragmentée.
• Insatiable curieux, il observe les Hommes vivre, dérobe aux vivants des fragments d'existence pour emplir sa propre béance, sinistre fantôme des fenêtres citadines.
• Enfant de Jérusalem, sa vie humaine a notamment été marquée par de ferventes croyances religieuses. Désormais, il n'est plus que l'ombre d'un Juif errant, persuadé d'avoir été répudié par le Très-Haut qu'il n'ose plus prier.
• Ancien horloger, il est habile de ses mains et répare encore des rouages à ses heures perdues. Maître du Temps, il aspire secrètement à le détraquer.
• Fasciné par les arcanes, il voue une obsession à la magie rouge, qui le canalise et réveille en lui les souvenirs de sa vie d'antan.
• Polyglotte, il s'exprime d'une voix grave et chantante, vent chaud d'Orient qui séduit les mortels. S'il s'exprime très bien en anglais, sa compréhension de certaines métaphores tout comme sa maîtrise de l'écrit laissent encore à désirer.
• Unique descendance de Salâh ad-Dîn Amjad, enfant adoptif d'Aliénor Bellovaque, amant des nuits d'Eoghan Underwood, Némésis de Dillon Ó Shaugnessy. Stalkeur de tous les autres.
Facultés : • Maître des illusions, il tisse des mensonges et déforme la réalité, altère les sens et bouleverse l'ordre. (Chimérie Niveau II palier 2)
• Ombre des toits, il est capable de dissimuler sa présence dans le secret de la pénombre, et devenir alors imperceptible. Insaisissable. (Occultation Niveau I palier 4)
• Voleur habile, il a la fâcheuse manie de dérober des objets à la plupart des personnes qu'il croise, et les entrepose dans son atelier, où il accumule les bibelots et fragments de vies arrachés.
• Redoutable chasseur, il excelle dans la traque, qu'il s'agisse d'humains ou d'artefacts.
• Souple et aérien, il est un excellent grimpeur et préférera toujours se déplacer en hauteur. Familier des toits des bas-quartiers, il évolue comme un véritable chat dans la jungle urbaine.
• Une sensibilité insoupçonnée se cache derrière cet étrange faciès. Lorsqu'il tue le temps dans la poussière de son atelier, il lui arrive de jouer de la musique ou de gribouiller.
Thème : Opium • Dead Can Dance
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PREMIERE DAME DU CHAOS.

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Crédits : WIISE (code signature) ; SHIYA (avatar).
Dim 8 Sep - 18:50 (#)

FILS DU FEEEEU :gogorage: :feu:

Tu as vu Rhys, c'est lui le véritable :gni:

Re-bienvenue avec ce nouveau personnage et reste loin de moi s'il te plaît :wtf:
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When witches don't fight, we burn
Rhil Trasam
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Lun 9 Sep - 11:27 (#)

@Edward Rawley Je. NON. Dehors. Nop. :machérie: :bye:  (Merci :heart: )
@Rhys V. Archos SI mais ça faisait peur comme ça :brille:
@Zach Solfarelli Je sais pas combien de temps ils vont être collègues mais on va essayer de faire marcher ça  :please:
@LEÓN CABRERA" Oh le beau bébé de deux ans il sait déjà bien écrire  :aww:  Laisse mon pyjama tranquille c'est maman qui me l'a offert  :deso: imagine si non
@SUMIRE MATSUHIME *glisse un gros billet et des cookies pour les crackships* J'espère être à la hauteur et qu'il dégage ce que j'ai bien envie d'exprimer en tous cas non au hunnam bad boy et qu'on va se ficeler des choses intéressantes :aww: :coucou:
@Dana Campbell Coupine nerd  :adore: Et parce que euh... magie ?  :please:  :fume:
@Hena Hicks Parce que y a des rps à faire, voilà pourquoi  :cute:  Merci pour tes encouragements dès le début, dès ton mp  :aww:
@DAHLIA BELLAMY @Victoria Osborne Merci  :love3:
@Yago Mustafaï Quoi, tu as peur du feu ?  :dildo:  :dildo:  *se frotte*

Aucune pression merci les coupains :adore: :meurs:
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Rhys Archos
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En un mot : Furie et Fiel
Qui es-tu ? : Sans visage, une force animale grouillant sous une peau humaine qui s'étire, trop étriquée, n'attendant que de jaillir à l'intérieur du monde pour le ravager.
Facultés :
Troubles à l'ordre public ;
Outrages à agents ;
Attentats à la pudeur ;
Violations de propriétés privées ;
Ivresse sur voie publique ;
Expert du pistolet à clous ;
Vols de voitures ;
Faux et usage de faux ;
Briseur de vitrines ;
Bagarres ;
Fusillade de masse ;
Vol de poules ;
Thème : https://www.youtube.com/watch?v=L7a8hmoOsx0
ÉPITAPHE DES DIVAGATIONS SAUVAGES

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Ordures jetées à la poubelle :
     Yago x1


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Pseudo : Chaton - Rhysk
Célébrité : Josh Beech
Messages : 2774
Date d'inscription : 13/07/2017
Crédits : © Internet
Lun 9 Sep - 22:13 (#)

Nan nan Yago, y a juste plusieurs fils du feu.

Je te gardais juste la surprise :dildo:

Et ok Rhil, mais entre potes de pseudos on ne peut pas se faire du mal... N'est-ce pas :brille: ?




Adopte ces beaux scénarios !
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Anonymous
Invité
Invité
Jeu 12 Sep - 22:08 (#)

Vivi, te voilà bien barbue... :russe: :judging: :arrow:
Bienvenue avec ce très chouette personnage tout feu tout flamme, amuse-toi bien ! :yuhou:
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 15 Sep - 12:29 (#)

Bienvenue avec ce nouveau perso !
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ADMIN ۰ Se faire péter la vitrine : bien plus qu'un métier, une passion. Featuring : Dramaking
Eoghan Underwood
Eoghan Underwood
ADMIN ۰ Se faire péter la vitrine : bien plus qu'un métier, une passion. Featuring : Dramaking
⛤ SMALLTOWN BOY ⛤

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"This is not the right way."

En un mot : Sorcier venimeux ondulé de la toiture. Gosse du bayou.
Qui es-tu ? :
"Let it spread like a disease."

⛤ Maître des arcanes, sorcier à l'essence écarlate. 37 ans de vice (et râles) et de chair corrompue. Manipulateur d'hormones, télépathe patenté.
⛤ Second, bras droit de Circé van derr Ven dans la secte de l'Irae. S'y démarque pour sa loyauté ciselée par les griffes de Morgan Leroy (missing). Mais les failles perlent.
⛤ Incube de Louisiane ; fils de ces terres marécageuses, du bayou poisseux et des routes cahoteuses. Né à Bâton-Rouge, n'a connu que Shreveport et les frontières de son État.
⛤ Né seul homme dans la famille des sorcières irlandaises Mulligan. Privé de père (tué) par la harpie noire : élevé par Sylia Mulligan, descendant du Rouge de sa grand-mère Julianna.
⛤ Cauchemar des femmes ; nourrit sa magie (Rougeoyante) des hormones sexuelles de ses partenaires, ainsi que des émotions primaires.
⛤ Traître à ses passions, criminel et meurtrier de Johanna Andros (missing). Pourfendeur d'amitiés, éternel débiteur, clébard soumis à ses attaches.
⛤ Ne vit que pour les Mardi-Gras de New Orleans ; caresse le rêve de s'y installer un jour dans son propre "shotgun", malgré le fantôme de Katrina.
⛤ Mystique, déchiré entre deux hommes : partagé entre le sorcier et l'humain, entre la sagesse et une ire destructrice. Le latin s'efface sans mal sous l'accent du Sud, coriace sous sa langue.
⛤ Commerçant du Downtown (Crawling life), antre de ses serpents vénérés, lézards et autres reptiles, dont il cède les corps, les soins et les cages de verre.
⛤ Pratique à l'arrière de sa boutique, dans un laboratoire farouchement défendu et protégé par les runes. Recèle secrets et savoirs, expérimentations douteuses et dangereuses.
⛤ Mauvais mentor. L'une de ses apprenties en a subi les conséquences. Guide de Morgane Wuntherson, compagnon des crimes et des nuits de Yago Mustafaï. Meilleur ami indigne de Vinzent Henkermann et cousin de Shannon Mulligan.
⛤ Pacte tissé avec Scox : Prince démon s'étant dissimulé derrière les brumes de Baal. Immortalité odieusement acquise, âme vouée à obéir et marcher aux côtés des Antiques.
37 ans d'âge réel ; 36 ans d'apparence.

⛤ ENAE VOLARE MEZZO ⛤

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"I put a spell on you."

Facultés : ⛤ La Rougeoyante s'infiltre dans les corps et y bouleverse les hormones ; flèche apollonide : distille poison, fléau, mort, mais aussi fièvre rouge saphique. Chaos total.
⛤ Télépathe raisonnable : ne s'infiltre de préférence que dans les esprits des humains misérables. Capable de communiquer en pensée avec quiconque lui ouvre les grilles de son esprit. Savant fou ; tâche de connecter sa psyché aux êtres muets, cobras et crotales comme cobayes.
⛤ Herboriste né, sa maîtrise des potions n'a d'égale que celle de son mentor maternel. Capable d'élaborer des philtres complexes ; créateur infatigable de breuvages en tous genres.
⛤ La Rougeoyante se défend et protège son hôte plus férocement qu'elle n'attaque : limitée par la nécessité d'un contact physique. Sorcier doué au corps-à-corps, secondé par son aisance au maniement d'athamés et autres lames rituelles.
⛤ Chercheur d'artefacts, quémandé des Longue-Vies : détisseur de leurs malédictions et autres mauvais sorts.
Thème : The Way ⛤ Zack Hemsey.
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⛤ VENGEANCE ⛤

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"Before I die alone."

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Pseudo : Nero
Célébrité : Ian Somerhalder.
Double compte : Sanford R. De Castro, Aliénor Bellovaque, Ian C. Calloway & Gautièr Montignac.
Messages : 5651
Date d'inscription : 09/06/2017
Crédits : Lune noire (ava') ; Amiante (signa')
Lun 23 Sep - 13:29 (#)

TU ES VALIDÉ(E)
Let the RP games begin

Intéressant, cette référence permanente au chaud et au feu tout au long de la fiche (ouais ouais j'les vois les occurrences même les plus nébuleuses #ancienétudiantenlitté :face: Je crois que j'ai jamais lu autant de fois le mot feu-follet dans une fiche :mdr: En tout cas, le bonhomme est intense et s'accorde parfaitement avec l'élément de son essence, ça fait plaisir de voir des personnages entiers comme ça. Je t'ouvre les portes, amuse-toi bien avec ce nouveau personnage !

Voilà, tu es officiellement dans la famille et ça implique de grandes responsabilités mais aussi beaucoup de fun. (Mais pas trop, Eoghan risque de le tuer.) Bref, tu as maintenant accès à tout le forum, ce qui veut dire que tu peux créer ta fiche de liens pour te faire plein d'amis ! Tu peux aussi nous tenir au courant des avancées de ton personnage dans un carnet d'évolution, mais c'est facultatif. Si tu es pressé d'écrire et que tu n'as pas encore de partenaires, n'hésite pas à poster dans les demandes de RP ou à te lancer dans l'aventure du fil rp ! Et si tu te sens seul, tu peux lancer ton propre scénario ou créer des pré-liens. Tu as sûrement constaté que nous avons un système de points sur AA, nous t'invitons à découvrir comment en gagner et surtout, comment les dépenser.
D'ailleurs, si tu as pris un prédéfini ou un scénario comme personnage, tu peux d'ores et déjà réclamer tes premiers points dans Collecter vos points.

Si tu as des questions, le staff est toujours à ta disposition pour y répondre. Et si tu veux un aperçu de la bonne humeur (pour ne pas dire folie) de nos membres, n'hésite pas à venir voir sur la CB ou à participer au flood ! Mais si on te fait un peu peur, n'hésite pas à demander l'aide d'un parrain ou d'une marraine pour t'intégrer. Ce sont des membres dévoués aux nouveaux !

Tout le staff d'Ashes Arise te souhaite donc la bienvenue dans ses rangs et à très vite pour les prochaines aventures !


Louisiana Burning

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Anonymous
Invité
Invité
Lun 23 Sep - 14:14 (#)

Je n'ai pas dis bienvenue mais j'espère qu'il n'est pas trop tard :heart: Bienvenue !! Au plaisir de te croiser en RP, ton personnage a l'air très sympathique :boing:
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