|
| Humains : Les Shepherds (7/7) | |
| Forgive me, Father, for I am sin SINFUL
ಓ
En un mot : Righteous cross
Thème : Dies iræ
WHAT HAVE WE DONE
ಕ Messages : 706
Date d'inscription : 24/03/2017
| | |
| En un mot AvatarsLes trombines des préféfinis ne sont pas réservées. Merci de vérifier que les avatars suggérés ne sont pas pris dans le bottin des avatars. Vous pouvez réserver un avatar sur ce même bottin. Test rpCertains PV sont soumis à des test rp car il s'agit de personnages importants pour l'intrigue ou de chefs de clan. Pour ces prédéfinis, une partie sera à ajouter à votre fiche de présentation (voir les modèles de fiche de présentation). Modificationvous pouvez consulter un admin ou poster en zone invités pour savoir ce qui est modifiable dans le prédéfini. RéservationVous pouvez réserver un pv pendant deux semaines en contactant le staff ou en postant en zone invité. Plus d'infoConsultez l'annuaire des clans ou l'annexe des Shepherds Disponibilités |
---|
| Ambrosio Valladares | disponible (test rp demandé) | | Esther Valladares | disponible | | Maud Landrieu | disponible | | Rowan Cohle | disponible | | Madison Hirst | disponible | | Nigel O'brien | disponible | | Sienna Pearse | disponible |
|
| | | Forgive me, Father, for I am sin SINFUL
ಓ
En un mot : Righteous cross
Thème : Dies iræ
WHAT HAVE WE DONE
ಕ Messages : 706
Date d'inscription : 24/03/2017
| | |
| Ambrosio Valladares 50 ans, Leader, Pasteur Avatars suggérés Javier Bardem ou Benicio Del Toro (crédits : ABΔИDON - ΛLDEBΛRΛN)
RÔLE Le leader, la figure de l'Homme derrière les Shepherds. Malgré tous ses efforts pour ne pas être éclaboussé de lumière, tous le connaissent pour ce qu'il est. Le chef. Ambrosio impose le respect, de ce charisme naturel, de cette présence féroce. S'il n'a jamais eu besoin de s'imposer par la violence, elle demeure un exutoire que beaucoup craignent au sein du clan. Tous savent vers qui se tourner lorsque l'heure est grave, lorsque le moment est propice aux grandes décisions, malgré la présence d'autres membres fondamentaux des Shepherds. Grand orateur, habitué aux sermons régulièrement dispensés, Ambrosio est un grand parleur qui manie les mots avec finesse. Il sait convaincre les foules, réunir ses fidèles, rassurer ses proches.
CARACTERECroyant ∞ Déterminé ∞ Dur ∞ Impatient ∞ Pessimiste ∞ Vindicatif ∞ Se veut juste ∞ Bienveillant envers les siens ∞ Paternaliste ∞ Fidèle ∞ Violent ∞ Charismatique ∞ Orateur ∞ Posé
FORCES ET FAIBLESSES ++ Sa foi est un véritable atout. L'homme de Dieu sait puiser dans les tréfonds de ses croyances lorsqu'autour de lui, tout s'effondre. Lui vient alors une grande ténacité, une force d'esprit et une volonté d'acier qui lui permet de tenir la plupart des chocs que la vie lui offre. ++ Les mots, Ambrosio les manie avec élégance et finesse. Bien conscient qu'ils ont tous un sens particulier, on ne l'observera jamais à se méprendre, à bégayer, à perdre le contrôle de sa diction. Cette aisance, conjuguée à son charisme quasi naturel, font de lui un meneur né. Un homme que l'on écoute, que l'on regarde, que l'on suit. +- Ayant totalement confiance en ses proches, Ambrosio oublie parfois que même les âmes les plus sombres savent revêtir quelques atours d'innocence et de candeur. Lui-même étant très fidèle, il lui arrive de se fourvoyer sur la nature de ceux qu'il affectionne et d'oublier que tous ne sont pas pourvus de bonté. +- Et lorsqu'on le trahit, il n'est plus question de fidélité. Il est question de vengeance, d'œil pour œil, dent pour dent. Le vice l'aveugle alors, il ne voit plus que le chemin qui le mènera à la souffrance de l'autre, à la déception de l'autre. Il veut gagner, non pas le combat, mais la guerre. Et il ne lâche rien, quitte à ne pas faire honneur à ses valeurs les plus profondes.
-- Sa relation avec sa femme est catastrophique. Un amour factice, une tendresse morte. Déjà enterrée, à dire vrai. Ambrosio craint sans cesse que la supercherie soit découverte ; plus encore que de mettre à mal le rôle qu'il détient, c'est le clan lui-même qui serait menacé si tous venaient à l'apprendre. Ce mariage est un poids de plus sur ses épaules, tant qu'il ne sait même plus où chercher de la douceur. Puisqu'il lui est inconcevable de commettre le péché d'adultère, il s'entoure de sa famille construite de toute pièce, tout en évitant de dévoilant le besoin de réconfort qui naît, malgré lui, dans ses entrailles.
-- Lorsque la bête est titillée, c'est la violence qui peut prendre le dessus. L'homme de Dieu n'est plus respectable et il a taché ses mains de sang plus d'une fois dans sa vie. Trop de fois pour oublier. Comme l'alcoolique, il se promet ; plus jamais. Comme l'alcoolique, il sait replonger facilement, trop facilement, dans ses travers. Le courroux se déchaîne, la violence l'aveugle.
« Nommé après Saint Ambroise de Milan, tu dois toi aussi marquer la terre de ton empreinte. Marche dans ses traces et fais la indélébile. Embrasse le prénom qui t'est donné et fais-lui honneur. Sois immortel. » Les perles d'eau bénite brillent sur le front du bambin, rosée de religion sur ce visage poupin. L'enfant s'usera les genoux sur les bancs de l'église, imprégnera son esprit-éponge, typique de ceux des gosses, des mots de Dieu. Au fil des années, il les avalera goulûment, presque avec hargne. Très tôt pourtant, Ambrosio préférait déjà résoudre les désaccords de cour d'école à l'aide de coups de poing bien placés. Il n'y avait que trop peu de place laissée à la discussion, et pas davantage à la patience. Ambrosio n'a jamais aimé perdre son temps - il sait la vie courte, il sait aussi que les moindres choix d'une existence, si superficiels semblent-ils, sont déterminants. La vie, justement, est un tunnel à ses yeux. Un long corridor étroit, sombre, parfois étouffant, dans lequel même la plus infime percée de lumière est une bouffée d'air frais. Un événement qu'il faut chérir ; et même s'il est profondément pessimiste, Ambrosio s'efforce d'apprécier les filaments de bonheur qui lui sont offerts. Les cadeaux du Seigneur doivent être appréciés à leur juste valeur, s'est-il toujours dit, quand bien même peuvent-ils sembler disséminés avec la plus grande des parcimonies. Né de parents espagnols désireux de fuir le franquisme, Ambrosio n'a foulé les terres ibériques de ses ancêtres qu'une fois adulte. [frères&soeurs&famille] Il fait de Esther son épouse à l'aube de la trentaine. Ils s'aiment - se sont aimés dès le départ, serait-il vaguement tenté de dire, dans un accès romantique et fougueux. Elle ne peut lui donner d'enfant, mais qu'importe. Aurait-il jamais eu la carrure d'un géniteur, de toute façon ? Au fil des années néanmoins, les bourrasques de la vie ont raison de cette flamme qui les animait, autrefois puissante et passionnée. Et de ce feu vacillant ne restent que les cendres d'un amour autrefois beau. Ambrosio ne ressent pas de haine vis-à-vis des CESS. C'est une profonde incompréhension qui l'habite ; ces êtres sont contre-nature, ces choses sont des monstruosités qui ne devraient pas exister. Ça, oui. Mais méritent-ils une haine gratuite ? Il n'en est pas sûr, et ne la ressent même pas. Il a parfois essayé de comprendre, sans succès. Ces êtres ne peuvent être que la création du Mal le plus absolu. Peut-être méritent-ils d'être soignés, mais l'époque n'est plus à l'aide. Il faut désormais les combattre, pour ce qu'ils représentent. Alors, lorsque cela est juste, Ambrosio est d'une animosité crue. Une sentence presque divine, infligée de ses poings nus, peu friand qu'il est d'outils en tout genre. Il n'y a dans le mouvement de cet homme aucune colère aveugle. Seulement l'ombre du démon qu'il faut réduire à néant. Ce n'est pas personnel ; c'est juste. Poussé par Esther, qui leur voue une haine plus virulente, plus ancrée, Ambrosio a sans cesse durci son discours au fil des années. À l'église et aux yeux de ses fidèles, il est une figure sage et paternaliste ; un rôle qui lui sied amplement. Au sein des Shepherds, il est le berger qui ramène ceux lui étant dévoués dans un juste chemin. Au fond, Ambrosio comble le vide de n'avoir jamais procréé, sans pour autant le vivre comme un échec. Si le Seigneur n'a pas permis à Esther de lui donner un enfant, c'est pour qu'il en ait des centaines. Esther ValladaresEsther. Le prénom qu'il a autrefois tant chéri n'est aujourd'hui plus qu'une traînée d'acide sur sa langue. Mais si Ambrosio conserve une tendresse amère, un regret profond vis-à-vis de cet échec marital, c'est une vive douleur qui anime sa femme. Une souffrance qui se mue tranquillement en agacement, en irritation profonde à son égard. Ils ne savent plus comment, ni pourquoi ils n'ont plus réussi à s'aimer. Surtout, ils ne savent pas quand c'est arrivé. L'amour a du se transformer en tendresse, en grande affection, puis en douce amitié. Et peu à peu, les sentiments s'éteignent. Faut-il encore le reconnaître, l'admettre, l'assumer. Tous deux ont tout vécu ensemble - sauf le pire. Esther, qui n'a jamais pu donner d'enfant à son mari, reste persuadée que c'est en partie la cause de leur relation chaotique. Mais au fond, et c'est bien ce qu'ils n'admettront pas, c'est que la vérité est simple : ils n'ont peut-être tout simplement jamais été faits l'un pour l'autre. Esther, puissante et animée d'une grande férocité, a lentement insufflé cette haine des CESS à son mari ; une haine factice, en ce qui le concerne. Ambrosio, sage et trop réfléchi, pas suffisamment ardent pour son épouse, n'a finalement jamais su calmer l'impétuosité qu'elle conserve en son sein. Alors ils se mettent d'accord et trouvent tous deux leur compte dans ce nouveau contrat : ils doivent rester mariés, unis, et surtout ils doivent mutuellement se soutenir. Dans leurs bons jours, ils savent discuter calmement. D'ailleurs, le couple ne fait presque jamais chambre à part. Leur situation est insoupçonnable. Rowan CohleLe respect mutuel animant les deux hommes est profond, presque familial. Ambrosio a su recréer, quasiment à la perfection, ce qu'il recherchait initialement en devenant pasteur : la création des liens humains profonds, intimes. Trouver une famille choisie, pour certains triée sur le volet, à défaut de celle que la nature nous donne et contre laquelle rien n'est possible. Il y a chez Ambrosio une chose que Rowan recherche ; un soutien, un appui. Un charisme contre lequel le sien n'est rien, que l'ombre d'un enfant derrière celle d'un homme. Il a l'impression de n'être qu'un gosse auprès du pasteur, et ses prétentions s'effondrent à chaque conversation qu'ils entament. Elles en ressortent pourtant renforcées, plus solides. Il y a chez le cinquantenaire une figure paternelle qui lui semble fondamentale ; il cherche son approbation, sa fierté. Le leader trouve également son compte dans la relation entretenue avec Rowan ; il n'a pas cette fougue aveugle qu'Ambrosio n'aime pas. Il est au contraire fait de cette sagesse qu'il semble avoir toujours eue. Rowan est posé, et la discussion entre eux deux est facile. S'ils se comprennent, ils se complètent ; s'ils ne se comprennent pas, ils s'expliquent. À vrai dire, ils voient souvent les choses de la même façon et se vouent mutuellement une confiance profonde. Rowan fait d'ailleurs partie des rares individus à être au courant du chaos muet animant le couple Valladares. Maud LandrieuIl n'est pas, pour elle, le père spirituel ou de remplacement qu'il peut être pour les autres. Leur relation est très saine, basée sur un intérêt mutuel et profond, une amitié sincère. Ils apprécient tous deux ce que l'autre a à offrir et contrairement à ce qu'en pense l'épouse du leader, il n'y a pas d'attirance entre les deux. Ils savent partager, aiment l'intelligence et la logique de l'autre, qui leur permet si facilement de réfléchir à deux. Nigel o'BrienLe pasteur a distingué chez Nigel une fragilité teintée de violence. Quelque chose d'intenable, et il lui donnait l'impression de se trouver devant une bête en cage. Touché par le personnage, il a cherché à l'aider lorsqu'il l'a propulsé au rang de bras droit, ce qu'il regrette aujourd'hui, voyant ce que l'irlandais devient. Mais il parvient au moins à le contenir et à s'assurer qu'il ne dérape pas, ou pas souvent. S'il rechigne à l'inciter à se salir les mains, il sait que Nigel est prêt à le faire et que cela lui donne de l'importance. Quant à ce dernier, il apprécie vraisemblablement le paternalisme qui lui a manqué toute sa vie sans s'en rendre compte. À double tranchant, ce sentiment se transforme souvent en amertume ; il a l'impression d'être le fils idiot qui n'appelle pas à la confiance, celui qu'on place parce qu'on ne sait pas quoi faire de lui et qu'on aimerait s'assurer de le suivre à la trace. La relation entre les deux hommes est un peu difficile, teintée de non-dits mais d'une affection profonde. |
| | | Forgive me, Father, for I am sin SINFUL
ಓ
En un mot : Righteous cross
Thème : Dies iræ
WHAT HAVE WE DONE
ಕ Messages : 706
Date d'inscription : 24/03/2017
| | |
| Esther Valladares 47 ans, Chargée de la cohésion interne, Professeur à l'école élémentaire de Mooringsport Avatars suggérés Kate Beckinsale ou Rachel Weisz (crédits : hedgekey - lux aeterna)
RÔLE Esther a rapidement su prendre ses marques dans le clan, si ce n'est immédiatement. Chargée du bon fonctionnement des événements sociaux, elle met un point d'honneur à ce que tout soit rodé et fini à la perfection. Tout doit se dérouler comme elle le souhaite, comme elle l'a décidé, comme elle l'a écrit à l'avance. Également chargée de chapeauter les groupes de jeunesse ainsi que la communication publique, elle tient à ce que femmes et enfants jouissent d'une distinction toute particulière. Très autoritaire, elle se montre parfois insensible, au profit de la réussite et de ce qu'elle estime être le bien commun. Néanmoins, ce caractère strict impose un certain respect, mais surtout une grande confiance auprès de ceux qu'elle fréquente de près - notamment les familles, femmes et enfants.
CARACTÈREPossessive ∞ Passionnée ∞ Amère ∞ Maternelle ∞ Autoritaire ∞ Control Freak ∞ Hypocrite ∞ Perfectionniste ∞ Patiente ∞ Soignée ∞ Haineuse envers les CESS
FORCES ET FAIBLESSES ++ Esther a appris auprès de son mari à manier les mots ; aussi, nombreux sont ceux à venir requérir ses conseils avisés. Elle sait également porter une oreille, souvent factice, aux doléances qui lui sont soumises.
++ La belle épouse du leader, sa main toujours près de la sienne, les cils battant en sa direction. Esther n'a pas de difficulté à feindre l'amour qu'elle est censée ressentir envers son mari, ni la fierté qu'elle éprouve à son égard. Après tout, ces sentiments ont bien été réels, un jour.
++ Ses décisions sont rarement contestées, car prises dans l'intérêt commun. Tout chez cette femme est réfléchi et rien n'est laissé au hasard : elle est donc un atout fondamental au groupe.
-- Esther fait preuve d'une prévoyance à toute épreuve - mais elle ne sait pas contenir son besoin de contrôle. Sa clairvoyance devient un poids, car tout dans sa vie doit être millimétré. Elle ne supporte pas le hasard, le vide, le flou.
-- Frustrée et terriblement jalouse, elle n'assume pas de ne pouvoir procréer. Elle voit chez les autres femmes une menace constante. La jeunesse de certaines lui rappelle ce qu'elle aurait pu être, ce dont elle n'a su profiter. La maturité d'autres la renvoie à une horloge biologique qui ne cesse de hurler dans son corps et qu'elle ne sait pas éteindre.
Enfant déjà, Esther a toujours fait preuve d'une réserve un peu prétentieuse. Comme si elle valait, haute comme trois pommes, déjà mieux que le reste du monde. La gosse aimait déjà les belles choses, et n'a jamais supporté devoir partager quoique ce soit. Ses parents, heureusement, ne lui ont donné ni frère ni soeur. Elle a grandi seule et a su s'occuper, dans le calme, passant souvent le temps seule avec elle-même.
Âgée de presque trente ans, elle épouse son amour de jeunesse, Ambrosio. Beau, passionné, fort ; elle le chérit de tout son coeur. Il calme sa personnalité ardente et elle lui insuffle un peu de fougue. Mais bientôt, elle ne voit plus les choses de la même façon. Esther se sent étouffée, elle a l'impression de ne pas pouvoir exister à côté d'un caractère si imposant, retenant son vrai caractère en permanence.
Dès qu'ils se dévoilent au monde, elle éprouve une haine irascible envers les créatures surnaturelles peuplant sa ville. Ils la répugnent, ne sont que des monstres dans la beauté d'un monde qu'elle recherche avec avidité. Souillant la terre, elle estime qu'ils n'ont rien à faire ici et ne sont qu'un danger de plus dans les rues. Et puis, tout cela lui donne un combat ; elle qui n'a pas de famille, elle va s'en créer une.
Ambrosio Valladares, ÉpouxEsther. Le prénom qu'il a autrefois tant chéri n'est aujourd'hui plus qu'une traînée d'acide sur sa langue. Mais si Ambrosio conserve une tendresse amère, un regret profond vis-à-vis de cet échec marital, c'est une vive douleur qui anime sa femme. Une souffrance qui se mue tranquillement en agacement, en irritation profonde à son égard. Ils ne savent plus comment, ni pourquoi ils n'ont plus réussi à s'aimer. Surtout, ils ne savent pas quand c'est arrivé. L'amour a du se transformer en tendresse, en grande affection, puis en douce amitié. Et peu à peu, les sentiments s'éteignent. Faut-il encore le reconnaître, l'admettre, l'assumer. Tous deux ont tout vécu ensemble - sauf le pire. Esther, qui n'a jamais pu donner d'enfant à son mari, reste persuadée que c'est en partie la cause de leur relation chaotique. Mais au fond, et c'est bien ce qu'ils n'admettront pas, c'est que la vérité est simple : ils n'ont peut-être tout simplement jamais été faits l'un pour l'autre. Esther, puissante et animée d'une grande férocité, a lentement insufflé cette haine des CESS à son mari ; une haine factice, en ce qui le concerne. Ambrosio, sage et trop réfléchi, pas suffisamment ardent pour son épouse, n'a finalement jamais su calmer l'impétuosité qu'elle conserve en son sein. Alors ils se mettent d'accord et trouvent tous deux leur compte dans ce nouveau contrat : ils doivent rester mariés, unis, et surtout ils doivent mutuellement se soutenir. Dans leurs bons jours, ils savent discuter calmement. D'ailleurs, le couple ne fait presque jamais chambre à part. Leur situation est insoupçonnable. Mackenzie HirstIl y a des rencontres qui, parfois, donnent l'impression de relever du destin. C'est ce qu'Esther a ressenti lorsque Mackenzie, enfant perdue et isolée, s'est aventurée dans les rangs des Shepherds. Elle est cette petite fille qu'elle n'a jamais pu chérir, elle est cette gosse qui n'a presque plus de parents et qui laisse un boulevard entier à une famille potentielle. Rapidement, Mackenzie ressent la même chose - elle aime se faire materner, elle aime accompagner Esther partout, elle adore cette douceur qu'elle lui accorde. Bien vite pourtant, lorsque la jeune fille est désabusée, déçue de découvrir le clan de l'intérieur, Esther la convainc de rester. Elle sait, à chaque fois, trouver les bons mots, les bonnes paroles. Elle sait, en réalité, trouver la corde sensible, celle qu'il faut titiller pour inciter la jeune femme à lui accorder une sempiternelle confiance. Elle est sous son influence, sous le joug invisible d'une mère d'adoption possessive et parfois un peu étouffante. Pourtant, l'affection est mutuelle. Il faut croire que chacune y trouve son compte, malgré les difficultés. Maud LandrieuGarce. La belle, talentueuse, jeune Maud que son mari, Ambrosio, aime tant. Certaine qu'elle veut lui voler son titre et son époux, Esther ressent une jalousie brûlante à son égard. Qu'importe ce qu'elle pourra dire ou faire, la jalousie se transformera bientôt en antipathie intense. Il n'y a pas vraiment de raison, encore moins de logique, à cette relation si négative. Esther n'étant pas du genre à se taire, elle s'impose dès que la jeune femme est dans les parages et se plaît à lui montrer que s'il y a une souveraine dans le coin, c'est bien à elle que le rôle revient. Elle s'est récemment persuadée qu'une histoire, sans savoir mettre un mot dessus, est née entre son mari et Maud. Et elle ne laissera personne, surtout pas celle qu'elle estime être une opportuniste prétentieuse, se mettre en travers de son chemin. |
| | | Forgive me, Father, for I am sin SINFUL
ಓ
En un mot : Righteous cross
Thème : Dies iræ
WHAT HAVE WE DONE
ಕ Messages : 706
Date d'inscription : 24/03/2017
| | |
| Maud Landrieu 32 ans, Porte-parole, Attachée aux services sociaux du cabinet du Gouverneur de Louisiane Avatars suggérés Gemma Arterton ou Leighton Meester (crédits : MOONY. - morrigan)
RÔLE Porte-parole du groupe, Maud est propulsée sur le devant de la scène dès qu'une ambitieuse intervention publique est nécessaire. Malgré son jeune âge, elle jouit d'un bel héritage politique et de nombreux contacts, souvent prêts à répondre favorablement à ses demandes. Son expérience dans le milieu de la politique est un atout incontestable pour les Shepherds.
CARACTÈREOratrice ∞ Charismatique ∞ Séductrice ∞ Réservée ∞ Sûre d'elle ∞ Sous pression ∞ Anxieuse ∞ Ambitieuse ∞ Prudente ∞ Trompeuse ∞ Sociable ∞ Mature
FORCES ET FAIBLESSES ++ Née dans une famille politique, Maud est une belle oratrice. Elle manie bien les mots ; sans en faire trop, elle va droit au but et sait convaincre.
++ Jouissant d'un carnet d'adresses impressionnant, la jeune femme possède des contacts dans toute la ville, tout l'état, et même un peu en dehors. Souvent appréciée à sa juste valeur, c'est une personne de confiance en laquelle beaucoup croient, certains lui étant même redevables.
++ Si elle n'avait pas évolué en politique, Maud aurait pu être comédienne. Néanmoins, elle tente souvent le tout pour le tout, jouant régulièrement avec le feu lorsqu'elle distribue ses petits mensonges. Très souvent, cela passe in extremis et elle frôle la catastrophe.
-- Si nombreux sont à lui donner leur confiance, elle n'en fait pas de même. Prudente voire suspicieuse, elle se méfie très facilement de n'importe qui et préfère feindre la sympathie. Elle n'hésite pas à inventer quelques détails de sa vie pour simuler une proximité avec ses interlocuteurs.
-- Sous pression en permanence, Maud développe lentement une angoisse grandissante. Mieux elle fait, mieux elle veut faire, inlassablement. La barre est toujours placée plus haut et elle continue, jusqu'à savoir atteindre son objectif, sans connaître ses limites.
-- L'adolescence marquée d'une grande maturité, elle n'a pas eu de jeunesse. Maud a toujours pensé aux résultats, à l'efficience, aux bonnes notes, à l'université. Elle chérit et assume parfaitement sa réussite mais regrette parfois d'avoir une vie si rangée.
Dans les dîners mondains, la gamine était traînée ; bien habillée, parfaitement coiffée, ses souliers polis ne risquaient pas de s'user dans la terre. Très tôt, elle entend parler de politique, de tactiques, de relation, de bienséance. Intriguée, elle aime ça et s'amuse à imiter ses parents. Déléguée de classe d'année en année, elle dirige des associations au lycée et remplit sa chambre de divers trophées.
Adolescente, Maud pensait déjà à l'université. Les copines et les garçons passaient en dernier plan, au grand bonheur de ses parents, fiers d'avoir une enfant si mature. Cela ne lui a d'ailleurs jamais vraiment manqué, très tôt consciente que son choix de vie ne lui permettrait pas toutes les folies de ses camarades, qu'elle ne fréquentait que très peu. Ses amis étaient les enfants des amis de ses parents, eux aussi baignant pour la plupart dans le même contexte qu'elle.
Terminant ses études très tôt, les réussissant haut-la-main, elle ne se laisse pas le temps de profiter d'un peu de détente, encore moins de folie. Puisqu'elle est dans le bain, elle se met aussitôt à travailler. Ses compétences et son carnet d'adresse lui permettent de se hisser, très jeune, auprès du Gouverneur de Louisiane. Un poste à responsabilités, qu'elle assume parfaitement bien. À côté de ça, elle s'implique de plus en plus auprès des Shepherds, qui répondent à son idéologie. Très humaine, elle ne ressent ni haine ni dégoût vis-à-vis des CESS. Elle estime seulement qu'ils sont un danger intenable auquel on ne peut se fier, et encore moins s'acoquiner. Catholique pratiquante, elle sait qu'ils ne peuvent qu'être l'oeuvre du mal. Ambrosio ValladaresIl n'est pas, pour elle, le père spirituel ou de remplacement qu'il peut être pour les autres. Leur relation est très saine, basée sur un intérêt mutuel et profond, une amitié sincère. Ils apprécient tous deux ce que l'autre a à offrir et contrairement à ce qu'en pense l'épouse du leader, il n'y a pas d'attirance entre les deux. Ils savent partager, aiment l'intelligence et la logique de l'autre, qui leur permet si facilement de réfléchir à deux. Esther ValladaresGarce. La belle, talentueuse, jeune Maud qu'Ambrosio aime tant. Certaine qu'elle veut lui voler son titre et son époux, Esther ressent une jalousie brûlante à son égard. Qu'importe ce qu'elle pourra dire ou faire, la jalousie se transformera bientôt en antipathie intense. Il n'y a pas vraiment de raison, encore moins de logique, à cette relation si négative. Esther n'étant pas du genre à se taire, elle s'impose dès que la jeune femme est dans les parages et se plaît à lui montrer que s'il y a une souveraine dans le coin, c'est bien à elle que le rôle revient. Elle s'est récemment persuadée qu'une histoire, sans savoir mettre un mot dessus, est née entre son mari et Maud. Et elle ne laissera personne, surtout pas celle qu'elle estime être une opportuniste prétentieuse, se mettre en travers de son chemin. Serena Blomgren C'est comme se regarder dans le miroir, à peu de choses près. Elles partagent d'innombrables points communs, l'éducation stricte et catholique, la même ambition de réussite qui a mis un frein à leurs relations sociales, les mêmes techniques pour séduire et persuader, la même beauté froide, presque inaccessible. Pourtant, elles sont dans des camps fondamentalement opposés et chacune de leur rencontre dans le cadre de leurs fonctions leur laisse une impression étrange entre familiarité et antipathie. Jusque-là, elles parvenaient à se respecter, mais depuis que Serena vit sous la menace, la moindre de ses relations ambiguës se teinte de suspicions. Et l'idéologie des Shepherds ne fait-elle pas d'eux les commanditaires idéaux ? Alors la Légat envisage de s'adonner à ce qu'elle sait faire de mieux : saboter les autres. En l'occurrence, les Shepherds. Mais Maud risque d'être une adversaire plus redoutable que prévu. |
| | | Forgive me, Father, for I am sin SINFUL
ಓ
En un mot : Righteous cross
Thème : Dies iræ
WHAT HAVE WE DONE
ಕ Messages : 706
Date d'inscription : 24/03/2017
| | |
| Rowan Cohle 38 ans, Recruteur, Croupier à l'Eldorado Casino Avatars suggérés Charles Michael Davis ou Chadwick Boseman (crédits : hershelves - Schizophrenic)
RÔLE Rowan a rapidement su mériter le respect d'Ambrosio Valladares, leader des Shepherds ; un respect qui l'a porté au rang de recruteur au sein du clan. Poste à grandes, immenses responsabilités, que Rowan assume fièrement. C'est à lui que revient le rôle d'accepter ou de refuser les potentielles nouvelles recrues - autrement dit, c'est en partie sur ses épaules que l'image des Shepherds de demain repose. Bourré de rigueur, intransigeant et dur, il est fondamental pour lui que n'importe qui ne puisse rejoindre les rangs de son groupe. Il regrette un certain laxisme dont ses prédécesseurs, mais lui aussi, ont pu faire preuve à l'émergence du clan. Désormais, il prend soin de réfléchir à tête froide, voire glacée, avant de donner son approbation. Certains l'estiment zélé ; à ses yeux, il fait seulement preuve d'exigence.
CARACTERESang froid ∞ Élégant ∞ Clairvoyant ∞ Terre à terre ∞ Obstiné ∞ Observateur ∞ Baratineur ∞ Méprisant envers ceux qu'il n'estime pas ∞ Charismatique ∞ Intimidant ∞ Fidèle ∞ Minutieux ∞ Méfiant ∞ Rigoureux ∞ Discret
FORCES ET FAIBLESSES ++ Exigeant, il ne laisse plus rentrer n'importe qui auprès des Shepherds. Il tient à ce que chacun fasse ses preuves et ne fait pas cas des inimitiés en tout genre.
++ Cet emploi, qu'il occupe depuis de nombreuses années, est parfait pour lui. Attentif et beau parleur, il a également appris à faire preuve d'une grande prévoyance. Il lui faut, en permanence, avoir un coup d'avance.
-- Calculer ce que dira son interlocuteur, ce qu'il fera ; lire entre les lignes. Autant d'habitudes qui ne le quittent plus, qu'il emporte partout avec lui, qui s'impriment dans son esprit. Parfois néanmoins, Rowan en fait même trop - il a tendance à penser que tout a un double sens, une explication cachée, que rien n'arrive sans raison. À ses yeux, rien n'est dit sans arrière-pensée.
-- La méfiance qui l'anime, si elle est un grand avantage tant dans la profession qu'il exerce que dans son rôle au sein du clan, détruit peu à peu ses relations humaines, intimes. Rowan voit le mal partout. Traumatisé par la Révélation, qui a dévoilé certaines connaissances, même superficielles, il a peur de nouvelles découvertes similaires et éprouve de grandes difficultés à nouer de fortes relations. Il est néanmoins plus détendu au sein des Shepherds, bien que méfiant.
Aîné d'une petite fratrie, Rowan naît à Shreveport même dans le courant de l'année 1980. Enfant de la ville, il l'a vue se développer, grandir, puis s'ériger en tant que foyer des CESS. Une évolution qu'il regrette amèrement, une folie surnaturelle qui le dégoûte. Leur reconnaissance est encore une vive douleur dans l'esprit de cet homme trop pragmatique. Lorsque certains de ses proches s'accommodent de l'émergence de ces nouvelles espèces, il sent le dégoût enfler, se transformer en refus catégorique. Le rejet devient colère, rage sourde envers ces monstres. S'il s'est parfois senti obligé de tourner le dos à certains proches pour ces valeurs, qu'il n'estimait plus communes, Rowan demeure très lié à sa famille, qu'importe leurs croyances.
S'il n'est pas particulièrement croyant, bien que chrétien de tradition familiale, il a rejoint les rangs des Shepherds lors de sermons dispensés par le pasteur Valladares. Charismatique, Rowan a rapidement su s'imposer aux yeux du leader des anti-CESS. Bourré d’écœurement, animé d'une haine froide, mais aussi particulièrement réaliste, il représente ce qu'Ambrosio recherche depuis la Révélation pour peupler efficacement les rangs de son clan. Néanmoins, Rowan ne se salit pas les mains. Il n'a jamais, ou quasiment, participé à de quelconques raids ou autres agressions, organisées ou non. N'agissant pas pour autant dans l'ombre, il a tout d'abord été un membre influent du clan, œuvrant aux côtés du leader dès qu'il le fallait. Puis, devant en engouement et un ralliement de plus en plus importants vis-à-vis des Shepherds, il a rapidement grimpé les échelons du clan pour atteindre un poste à sa hauteur : recruteur.
Croupier au casino l'Eldorado, il bénéficie d'une parfaite couverture chaque fois que les Shepherds font preuve de la violence qui leur est propre ; à ce titre, la multitude de caméras du casino est la preuve de son innocence. En permanence propre sur lui, Rowan ne s'abandonne jamais à quelque bassesse que ce soit, même s'il lui arrive de manifester le dédain qui l'anime et qu'il ne sait parfois pas camoufler. Cependant très professionnel, il sait se tenir sitôt les portes du casino passées. Il s'autorise néanmoins à avoir les oreilles traînantes. Discret, il est pour ainsi dire tenu à une réserve absolue dans le cadre de son emploi, ce qui lui permet d'écouter toutes les badineries des joueurs ou, s'il a plus de chances, les discussions ayant davantage d'importance.
Ambrosio ValladaresLe respect mutuel animant les deux hommes est profond, presque familial. Ambrosio a su recréer, quasiment à la perfection, ce qu'il recherchait initialement en devenant pasteur : la création des liens humains profonds, intimes. Trouver une famille choisie, pour certains triée sur le volet, à défaut de celle que la nature nous donne et contre laquelle rien n'est possible. Il y a chez Ambrosio une chose que Rowan recherche ; un soutien, un appui. Un charisme contre lequel le sien n'est rien, que l'ombre d'un enfant derrière celle d'un homme. Il a l'impression de n'être qu'un gosse auprès du pasteur, et ses prétentions s'effondrent à chaque conversation qu'ils entament. Elles en ressortent pourtant renforcées, plus solides. Il y a chez le cinquantenaire une figure paternelle qui lui semble fondamentale ; il cherche son approbation, sa fierté. Le leader trouve également son compte dans la relation entretenue avec Rowan ; il n'a pas cette fougue aveugle qu'Ambrosio n'aime pas. Il est au contraire fait de cette sagesse qu'il semble avoir toujours eue. Rowan est posé, et la discussion entre eux deux est facile. S'ils se comprennent, ils se complètent ; s'ils ne se comprennent pas, ils s'expliquent. À vrai dire, ils voient souvent les choses de la même façon et se vouent mutuellement une confiance profonde. Rowan fait d'ailleurs partie des rares individus à être au courant du chaos muet animant le couple Valladares. Nigel o'BrienAuparavant amis, le temps a su transformer la relation, désormais pourrie jusqu'à la moelle. Lorsque la rivalité grandit chez Nigel, Rowan observe simplement un ancien ami chuter dans son estime. Ce dernier sait s'imposer naturellement, à croire qu'il n'a rien à faire d'autre que d'asseoir un charisme immuable, ce que Nigel ne comprend pas. Lui qui trime, lui qui se salit les mains en permanence a moins d'égards que le prétentieux croupier qui ne touche jamais à la crasse. Une crasse qui fait pourtant bel et bien partie des Shepherds. Et lorsque Rowan devient recruteur, c'est le coup de grâce ; doté de plus de responsabilités que l'irlandais, il délègue à tour de bras, lui qui est bourré de haine mais n'agit jamais. Les deux hommes ne s'apprécient plus mais ont partagé beaucoup à une époque. Si cette drôle de rivalité a écrasé une amitié, elle demeure néanmoins, nichée sous les sentiments négatifs. Sienna Pearse Il n'a jamais été sensible aux courbettes de Sienna. Elle a pourtant essayé des mois durant, elle n'a pas démérité, il peut lui concéder cela. Souvent, il l'écoutait parler et lui laissait entrevoir le soupçon d'un espoir, seulement pour l'observer faire et voir jusqu'où elle était prête à aller pour l'impressionner. Leur relation, même si elle semblait parfois stérile, n'était pas négative. Mais ce n'est que récemment qu'il ressent un réel intérêt pour celle qui ne semble pas connaître le danger. Il s'inquiète à son sujet, lorsqu'elle est aveuglée par la réussite et l'adrénaline. Sienna s'en accommode et si elle apprécie l'attention qui lui est portée, elle demeure réticente à l'idée d'être fliquée. Le croupier ne semble fonctionner qu'au contrôle, ce qui marque clairement une rupture entre eux, bien que leur attirance soit sincère et mutuelle. Elle ne voit pas en lui le bloc désagréable et méprisant qu'il affiche, ou ne semble en tout cas pas dérangée par ce caractère que beaucoup n'apprécient pas. À ses yeux à lui, elle est un vent de fraîcheur dans la communauté des Shepherds, voire dans sa vie personnelle. |
| | | Forgive me, Father, for I am sin SINFUL
ಓ
En un mot : Righteous cross
Thème : Dies iræ
WHAT HAVE WE DONE
ಕ Messages : 706
Date d'inscription : 24/03/2017
| | |
| Mackenzie Hirst 20 ans, Blogueuse publique, Étudiante Avatars suggérés Dakota Fanning ou Abigail Breslin (crédits : BALACLAVA - ironshy)
RÔLE Approchée sur internet afin de participer à une réunion introductive des Shepherds, elle décide de les rejoindre presque aussitôt et oeuvre désormais pour eux. Mackenzie rédige des billets et autres articles anti-CESS, vantant les mérites des Shepherds.
CARACTÈRETimide ∞ Perdue ∞ Fataliste ∞ Angoissée ∞ Minutieuse ∞ Curieuse ∞ Immature ∞ Affectueuse ∞ Sincère ∞ Bonne poire ∞ Besoin d'affection/d'attention ∞ Serviable
FORCES ET FAIBLESSES ++ Elle manie les mots avec aisance, Mackenzie. À l'écrit tout du moins, elle se révèle être passionnante et gère avec facilité ses idées. Elle en est même convaincante. Sur son blog, tout est organisé, et il lui serait impensable d'écrire quoique ce soit qui ne soit pas corroboré par des sources. Sa curiosité est contagieuse. ++ La blonde ne réalise pas qu'elle possède un capital séduction important. Recrue de choix pour les Shepherds, la gamine au visage d'ange est un atout des plus convaincants. Sa douceur est attirante et sa timidité des plus adorables aux yeux de la plupart des gens. En réalité, Mackenzie est particulièrement touchante, sans qu'on puisse vraiment mettre le doigt sur ce qui la rend si attachante. -- Si elle est particulièrement naïve, elle parvient également à être pessimiste, fataliste. Certains sujets, comme les CESS, la troublent tout particulièrement et elle ne réussit pas à apercevoir la lumière dans les ténèbres. Dans ces moments-là, elle devient particulièrement sensible, presque défaitiste. -- Sa timidité peut néanmoins être un frein dans ses relations personnelles. Dès lors qu'elle ne s'expose pas à la vue de tous, elle se délivre. Malheureusement, son rôle au sein des Shepherds ne la cantonne pas devant un écran d'ordinateur. Soucieux de leur image, ils chercheront tôt ou tard à ce que sa participation soit plus active, Mackenzie le sait et le redoute tout particulièrement.
Si Mackenzie est la première née de la famille, les Hirst ont accueilli en tout trois enfants. L'aînée ne fut enfant unique que pendant trois ans. Elle développa pourtant un sentiment de mal-être vis-à-vis de ses frères/soeurs qui, bien que n'étant pas de la jalousie à proprement parler, la poussa rapidement à se renfermer. Si Mackenzie a un besoin presque incessant d'attention de la part de ses parents, elle demeure une adolescente sans problèmes et agréable à vivre. L'impression grandissant d'être invisible aux yeux des autres est parfois douloureuse mais elle est serviable et s'occupe énormément de sa fratrie. En 2013, lorsqu'elle n'avait que 15 ans, Mackenzie a ouvert un blog. Sans prétention, sans arrière-pensée aucune ; l'adolescente voulait simplement partager. Partager ses craintes, ses peurs, ses incertitudes vis-à-vis des Révélations qui s'enchaînaient alors et pour lesquelles son foyer ne lui apportait aucune oreille attentive. Elle rédigeait, ponctuellement, billets et articles relatifs aux CESS. Contrairement à nombre de ses pairs, la jeune fille ne ressent ni fascination, ni intérêt envers ces gens qui la rebutent plus qu'autre chose. Très active sur internet, elle passe parfois des heures à décortiquer vidéos, sites méconnus et forums en tout genre. Les années passant, son blog évolue ; des chroniques d'une jeune fille effrayée, elle passe à la rédaction d'une véritable blog d'informations. Ses recherches portent leurs fruits et lui permettent d'établir ses révélations à elle. En plus de petits faits scientifiques, elle se base sur l'actualité et les faits divers en tout genre, prouvant par exemple que de nombreux vampires ignorent le Tru Blood et demeurent donc de réels dangers. Elle n'hésite pas lorsque les Shepherds lui proposent de rejoindre cette communauté. Là-bas, elle peut repartir de zéro et prendre un peu de consistance, elle qui ressemble si souvent à un fantôme en errance. Elle s'affirme avec douceur, prenant ses marques. L'écriture l'aide énormément et nombreux sont ceux à souligner qu'ils ne s'attendaient pas à rencontrer une jeune fille retranchée derrière un soupçon de timidité lorsqu'ils la lisent. À l'écrit, sur internet, Mackenzie se laisse aller. Elle se plaît d'ailleurs à penser qu'elle dévoile sa véritable personnalité par ce biais. Esther ValladaresIl y a des rencontres qui, parfois, donnent l'impression de relever du destin. C'est ce qu'Esther a ressenti lorsque Mackenzie, enfant perdue et isolée, s'est aventurée dans les rangs des Shepherds. Elle est cette petite fille qu'elle n'a jamais pu chérir, elle est cette gosse qui n'a presque plus de parents et qui laisse un boulevard entier à une famille potentielle. Rapidement, Mackenzie ressent la même chose - elle aime se faire materner, elle aime accompagner Esther partout, adore cette douceur qui lui est accordée. Bien vite pourtant, lorsque la jeune fille est désabusée, déçue de découvrir le clan de l'intérieur, Esther la convainc de rester. Elle sait, à chaque fois, trouver les bons mots, les bonnes paroles. Elle sait, en réalité, trouver la corde sensible, celle qu'il faut titiller pour inciter la jeune femme à lui accorder une sempiternelle confiance. Elle est sous son influence, sous le joug invisible d'une mère d'adoption possessive et parfois un peu étouffante. Pourtant, l'affection est mutuelle. Il faut croire que chacune y trouve son compte, malgré les difficultés. Nigel o'BrienCes deux-là n'étaient absolument pas destinés à s'apprécier, en revanche. Lorsqu'ils se sont rencontrés, elle trouvait qu'il puait le danger rance et l'insécurité ; il la trouvait insipide, encore une jolie poupée sans intérêt, une gamine dans les basques de Esther. Un soir pourtant, il la tire des griffes d'une menace (agression), juste après une réunion. Elle n'est pas en état de rentrer chez elle et ils passent une grande partie de la nuit à discuter autour d'un café froid. Ils retrouvent en chacun une fragilité aussi dérangeante que rassurante et surtout, ils ont rapidement l'impression de pouvoir s'ouvrir auprès de l'autre. Comme s'ils venaient de trouver la seule personne capable de lire entre les lignes. Néanmoins, Mackenzie est impressionnée. Trop pour l'irlandais qui n'assume rapidement plus ce qu'elle voit chez lui. Il a l'impression qu'elle le met sur un piédestal, elle qui a tant à offrir. Qu'elle ne devrait pas perdre de temps avec un homme pareil, lorsqu'elle désire seulement continuer d'apprendre à le connaître. Lexie HarringtonLes deux jeunes femmes se sont rencontrées à l'université. La douceur de Mackenzie et l'éxubérance de Lexie en font des amies complémentaires. D'autant plus qu'elles se trouvent des passe-temps communs, comme les réseaux sociaux et les blogs sur lesquels elles sont toutes deux très actives. Malgré tout l'orage n'est pas loin, si Mackenzie découvre que Lexie est une vampire ou Lexie que Mack travaille pour les Shepherds. A moins que cela ne permette de changer leurs opinions respectives... |
| | | Forgive me, Father, for I am sin SINFUL
ಓ
En un mot : Righteous cross
Thème : Dies iræ
WHAT HAVE WE DONE
ಕ Messages : 706
Date d'inscription : 24/03/2017
| | |
| Nigel O'brien 34 ans, Bras droit d'Ambrosio Valladares, Vendeur à l'armurerie de Haughton
Avatars suggérés Luke Evans ou Ryan Gosling (crédits : MORPHINE. - MORPHINE.)
RÔLE Aux yeux de tous, Nigel est le bras droit d'Ambrosio Valladares. Officieusement, son rôle est bien moindre : il ne prend aucune décision, n'a quasiment aucun droit de regard sur ce qui se trame au sein des Shepherds et il ne lui est pas demandé de s'en soucier. Si Nigel espère que son statut se dévoilera un jour - devra-t-il prendre le relais d'Ambrosio, ou sera-t-il propulsé d'ici quelques mois, lorsque les choses bougeront ? -, il n'en demeure pas moins qu'il ne ressent, à cet égard, pas de grande frustration. Ses larges épaules supporteraient le poids des actions, mais pas celui des difficultés, des mauvaises décisions, des remords.
CARACTÈREFanfaron ∞ Manque de confiance en lui ∞ Prétentieux ∞ Casse-cou ∞ Fort besoin de reconnaissance ∞ Débrouillard ∞ Influençable ∞ Sensible ∞ Immature ∞ Impulsif ∞ Drôle ∞ Irresponsable
FORCES ET FAIBLESSES ++ Malgré ses démons, et outre son mauvais caractère, Nigel a su grimper les échelons des Shepherds. À ce titre, son efficacité n'est plus à prouver, quand bien même ressentirait-il toujours ce besoin de reconnaissance, qui ne le quitte jamais vraiment. Il sait néanmoins en faire une force, soucieux de bien faire, de ne pas décevoir ceux qui comptent à ses yeux. ++ La détermination sans borne qui l'anime lui permettrait, s'il savait prendre les bonnes décisions, d'accomplir de grandes choses. Il a pourtant décidé de se vouer à quelque chose de plus sombre, par facilité, tout simplement. ++ Casse-cou, Nigel ne se laisse pas impressionner par la peur. Il ignore avec une singulière aisance les inquiétudes qui en rongeraient un autre, les craintes pouvant bloquer un pas en avant, les soucis torturant l'esprit. Il se lance, à corps-perdu, et ne songe pas aux conséquences. Bien souvent, le résultat en est satisfaisant. ++ Dans ses mirettes, le reflet d'un visage s'imprime puis s'ancre dans son esprit. Les traits déformés par une moue toute particulière, ou la lueur qui passe dans des prunelles ; le mouvement peu perceptible d'une silhouette ou le timbre changeant d'une voix. Cela ne lui échappe pas et le marque tout particulièrement. Il oublie rarement une personne, un visage, un prénom. Facilement imprégné des autres, il assume avec difficulté la sensibilité que cela dévoile de lui. -- Nigel étant arrivé au sein des Shepherds il y a des années, la brusque évolution du groupe ne lui plaît que moyennement. L'irlandais s'y retrouve mal, ressent des difficultés à s'élever au milieu des autres et surtout, il perd ceux qu'il considérait jusqu'à récemment encore comme une famille. Le côté impersonnel des Shepherds l'effraie en ce qu'il a peur de se fondre dans la masse. -- Assez prétentieux, il exprime régulièrement avec fracas ses impressions et idées. Ça ne plaît généralement pas et le fait qu'il soit une grande gueule est davantage agaçant qu'attirant aux yeux des autres. -- Provoque souvent des réactions extrêmes, très positives ou très négatives. Il impressionne ou agace beaucoup.
Né en 1985 en Irlande, à Dublin, Nigel n'a de souvenirs que d'une mère longtemps célibataire. Ayant fui un père incapable d'assumer son rôle, ils ont vécu de longues années de misère, évoluant dans un appartement miteux. L'enfant ne travaillait pas suffisamment à l'école, brillait par son absence au collège. Le schéma imposé par ses parents étaient déjà inscrit dans ses veines : Nigel a toujours fui ce qu'il n'arrivait plus à supporter. Il fuyait les cours, les autres, les responsabilités. Il n'a pas su apporter à sa mère l'aide qu'elle méritait, et moins encore le repos dont elle avait désespérément besoin, quelque chose qu'il regrette aujourd'hui énormément. L'irlandais traîne des années d'errance derrière lui. Il n'a jamais joui d'un confort de vie agréable et n'a jamais occupé un véritable emploi. Comme s'il reproduisait le schéma que le gosse a connu, il vit dans la précarité en permanence. Peut-être même décide-t-il lui-même de saborder la stabilité qu'il trouve dans sa vie, mais il n'a jamais su se poser avec une femme, enchaînant les relations sans lendemain. Ces décisions, il les déteste. Il aimerait progresser dans une vie riche et ne sait qu'ajouter d'innombrables regrets à un tableau déjà bien rempli. Les positions morales qu'offrait Ambrosio Valladares l'ont attiré sans le brusquer. Peut-être était-il dans une période faste de son existence, de celles où on souhaite sincèrement progresser, dépasser la misère qu'on a toujours connue. Toujours est-il qu'il a franchi le pas et a été un des premiers à rejoindre les Shepherds, rapidement hissé au rang de second. Il n’est pas un tueur dans l’âme, il ne s’est jamais envisagé comme alignant les trophées de bêtes surnaturelles, pourtant dans un concours de circonstances malheureux, il a tué un loup. Les autres Shepherds étant au courant, il ne peut que tenter comme il peut de tirer profit de cette situation : il choisit donc de profiter de ce meurtre pour s’assurer une certaine prestance, une assise sur le mouvement. Il se construit une respectabilité dans le clan à partir de cet événement. Sans sourciller, Nigel a tendance à s'exécuter avec facilité à chaque fois qu'on lui demande quelque chose, comme un homme à tout faire, car il ne sait pas vraiment quelles initiatives prendre – ce n’est pas un homme d’action en réalité, mais davantage un suiveur, ce qu'il n'assumera jamais. Il ne regrette absolument pas cette condition. Si Nigel a rapidement rejoint les Shepherds, il réalise peu à peu qu'il ne ressent pas de haine viscérale vis-à-vis des CESS. Ils ont son dégoût mais certainement pas quelque chose de plus profond. C'est bien ce qui le distingue de certains membres respectables de la communauté. En réalité, il n'est présent que parce qu'Ambrosio a su voir en lui une violence douloureuse, une fragilité latente qu'il n'a pas su contenir autrement qu'en lui donnant un rôle majeur auprès des siens. Les Shepherds, c'est le garde-fou de Nigel pour ses actions répréhensibles. Ambrosio ValladaresLe pasteur a distingué chez Nigel une fragilité teintée de violence. Quelque chose d'intenable, et il lui donnait l'impression de se trouver devant une bête en cage. Touché par le personnage, il a cherché à l'aider lorsqu'il l'a propulsé au rang de bras droit, ce qu'il regrette aujourd'hui, voyant ce que l'irlandais devient. Mais il parvient au moins à le contenir et à s'assurer qu'il ne dérape pas, ou pas souvent. S'il rechigne à l'inciter à se salir les mains, il sait que Nigel est prêt à le faire et que cela lui donne de l'importance. Quant à ce dernier, il apprécie vraisemblablement le paternalisme qui lui a manqué toute sa vie sans s'en rendre compte. À double tranchant, ce sentiment se transforme souvent en amertume ; il a l'impression d'être le fils idiot qui n'appelle pas à la confiance, celui qu'on place parce qu'on ne sait pas quoi faire de lui et qu'on aimerait s'assurer de le suivre à la trace. La relation entre les deux hommes est un peu difficile, teintée de non-dits mais d'une affection profonde. Mackenzie HirstCes deux-là n'étaient absolument pas destinés à s'apprécier, en revanche. Lorsqu'ils se sont rencontrés, elle trouvait qu'il puait le danger rance et l'insécurité ; il la trouvait insipide, encore une jolie poupée sans intérêt, une gamine dans les basques de Esther. Un soir pourtant, il la tire des griffes d'une menace (agression), juste après une réunion. Elle n'est pas en état de rentrer chez elle et ils passent une grande partie de la nuit à discuter autour d'un café froid. Ils retrouvent en chacun une fragilité aussi dérangeante que rassurante et surtout, ils ont rapidement l'impression de pouvoir s'ouvrir auprès de l'autre. Comme s'ils venaient de trouver la seule personne capable de lire entre les lignes. Néanmoins, Mackenzie est impressionnée. Trop pour l'irlandais qui n'assume rapidement plus ce qu'elle voit chez lui. Il a l'impression qu'elle le met sur un piédestal, elle qui a tant à offrir. Qu'elle ne devrait pas perdre de temps avec un homme pareil, lorsqu'elle désire seulement continuer d'apprendre à le connaître. Rowan Cohle Auparavant amis, le temps a su transformer la relation, désormais pourrie jusqu'à la moelle. Lorsque la rivalité grandit chez Nigel, Rowan observe simplement un ancien ami chuter dans son estime. Ce dernier sait s'imposer naturellement, à croire qu'il n'a rien à faire d'autre que d'asseoir un charisme immuable, ce que Nigel ne comprend pas. Lui qui trime, lui qui se salit les mains en permanence a moins d'égards que le prétentieux croupier qui ne touche jamais à la crasse. Une crasse qui fait pourtant bel et bien partie des Shepherds. Et lorsque Rowan devient recruteur, c'est le coup de grâce ; doté de plus de responsabilités que l'irlandais, il délègue à tour de bras, lui qui est bourré de haine mais n'agit jamais. Les deux hommes ne s'apprécient plus mais ont partagé beaucoup à une époque. Si cette drôle de rivalité a écrasé une amitié, elle demeure néanmoins, nichée sous les sentiments négatifs. Joan RoderickIl y a de bonnes chances pour que le bras-droit des Shepherds soit l'assassin de son frère, mais la louve n'en est pas encore certaine. Elle doit redoubler de ruse pour ne pas mettre en danger sa couverture tout en se rapprochant de lui : elle veut en avoir le cœur net, et à la moindre preuve, elle ne reculera devant rien pour faire rouler la tête de ce vantard. Ira-t-elle jusqu'à en faire une déclaration de guerre contre les Shepherds, ou s'en servira-t-elle plutôt comme un moyen d'asseoir son pouvoir dans la meute ? |
| | | Forgive me, Father, for I am sin SINFUL
ಓ
En un mot : Righteous cross
Thème : Dies iræ
WHAT HAVE WE DONE
ಕ Messages : 706
Date d'inscription : 24/03/2017
| | |
| Sienna Pearse 26 ans, Animatrice de radio pirate, Journaliste Avatars suggérés Emma Roberts ou Adelaide Kane (crédits : Perséphone - hershelves)
RÔLE Sienna rejoint les Shepherds en 2015, lorsqu'elle ne supporte plus la nouvelle ligne éditoriale du magazine Heliopolis, dans lequel elle évoluait depuis environ un an. Même si elle n'est responsable de la radio pirate que depuis quelques mois, l'importance de Sienna est loin d'être négligeable. Voix s'élevant dans l'ombre, elle susurre vérités et autres secrets vis-à-vis des CESS à tous ceux voulant les entendre. Ils sont nombreux à l'écouter, à tout moment de la journée, lorsqu'elle décide de se lancer. Jamais à la même heure, parfois plusieurs fois par jour, Sienna s'exprime avec professionnalisme. Depuis peu, elle prend des initiatives et se permet d'avoir des invités porteurs de faits exclusifs, ou d'entrevues sans langue de bois.
CARACTÈRERévoltée ∞ Drôle ∞ Croyante ∞ Impatiente ∞ Orgueilleuse ∞ Oratrice ∞ Franche ∞ Rusée ∞ Passionnée ∞ Sociable ∞ Inventive ∞ Persévérante ∞ Culottée ∞ Capricieuse ∞ Inconsciente
FORCES ET FAIBLESSES ++ L'inventivité de Sienna couplée à son culot sont de grandes qualités dans le cadre de son emploi. Habituée à mentir pour obtenir ce qu'elle veut, elle aime particulièrement se grimer ; revêtir une personnalité à laquelle on donnera les informations qu'elle désire. D'ailleurs, il n'y a pour Sienna aucun problème sans solution - quoiqu'il arrive, elle saura faire avec.
++ Passionnée et persévérante, la journaliste ne lâche rien. Un joli pitbull, voilà ce qu'elle est. Nombreux sont ceux à s'arrêter à sa frêle silhouette, à cet adorable minois, sans imaginer que Sienna puisse être si tenace qu'elle en deviendra exaspérante, au point d'obtenir à peu près n'importe quoi.
-- Avec l'âge, la journaliste prend confiance en elle et oublie le danger. Au sein de l'Heliopolis, il était maigre ; maintenant qu'elle évolue au sein des Shepherds, les rencontres sortant Sienna de sa zone de confort risquent pourtant de se multiplier, sans qu'elle soit capable de modifier son comportement.
-- L'éducation d'enfant gâtée que Sienna a reçue ne lui est pas bénéfique le moins du monde. Habituée à tout avoir, tout de suite, elle ne réalise pas vraiment que ses moues boudeuses ne font d'effet qu'à son père. Éloignée du cocon familial depuis quelques mois maintenant, elle apprend néanmoins peu à peu à s'en défaire.
Enfant unique d'un couple aisé, gâtée plus que de raison, Sienna n'a jamais connu de difficultés. Gamine, il lui suffisait de hurler pour qu'on se dépêche de la contenter. Adolescente invivable et capricieuse, le visage tordu par une moue boudeuse, elle n'avait déjà plus qu'à claquer des doigts pour obtenir ce qu'elle désirait. Si ses parents s'en veulent terriblement de l'avoir habituée à tant de luxes, Sienna est née dans ce moule et ne leur a jamais donné la moindre occasion de faire preuve de plus de rigueur. Après une licence d'anglais à l'université, son père fait jouer ses relations pour qu'elle intègre un journal indépendant de la ville de Shreveport, l'Heliopolis. Bien que terriblement déçue de n'être qu'une petite journaliste pour un simple magazine indépendant du haut de ses 22 ans, Sienna y travaillait correctement. Elle ne s'épanouit pas franchement et n'a pas l'impression de progresser personnellement. Lorsque le magazine accentue son ouverture vis-à-vis des CESS, c'est la goutte de trop. Ceux qu'elle considère comme étant contre-nature, dangereux et monstrueux intègrent peu à peu les rangs du journal. Sienna le quitte avec fracas, et pas l'ombre d'un regret. La journaliste a toujours été plus ou moins pratiquante, mais sa foi n'a jamais flanché. Si elle n'adhère pas à toutes les valeurs de la religion, elle demeure néanmoins croyante. C'est donc naturellement qu'elle devient l'une des fidèles d'Ambrosio Valladares, et côtoie régulièrement d'autres membres des Shepherds - certains voient son potentiel, son ambition, son intelligence. Elle les rejoint rapidement, sans pour autant faire partie des figures importantes du groupe. Pour la première fois, elle est dans l'ombre. Sienna fait partie des moins influents, et ni son patrimoine familial ni ses relations n'y pourront quoique ce soit. Durant plus d'un an, elle évolue auprès des autres et apprend une certaine forme d'humilité à leur contact. Lorsque Sienna réalise que les courbettes et autres flagorneries sont inopérantes avec Rowan Cohle, elle abandonne et n'agit au sein des Shepherds qu'avec désintérêt. Elle y évolue finalement et s'y sent à sa place - les liens se tissent lentement, et même si Sienna demeure la même, elle s'accommode des autres. Sa place au sein des Shepherds est complètement méritée, loin de tout ce qui lui a été donné gratuitement durant des années. Pour la première fois, elle ressent une légère anxiété à l'idée de décevoir. Pour la première fois, Sienna veut bien faire. Rowan CohleIl n'a jamais été sensible aux courbettes de Sienna. Elle a pourtant essayé des mois durant, elle n'a pas démérité, il peut lui concéder cela. Souvent, il l'écoutait parler et lui laissait entrevoir le soupçon d'un espoir, seulement pour l'observer faire et voir jusqu'où elle était prête à aller pour l'impressionner. Leur relation, même si elle semblait parfois stérile, n'était pas négative. Mais ce n'est que récemment qu'il ressent un réel intérêt pour celle qui ne semble pas connaître le danger. Il s'inquiète à son sujet, lorsqu'elle est aveuglée par la réussite et l'adrénaline. Sienna s'en accommode et si elle apprécie l'attention qui lui est portée, elle demeure réticente à l'idée d'être fliquée. Le croupier ne semble fonctionner qu'au contrôle, ce qui marque clairement une rupture entre eux, bien que leur attirance soit sincère et mutuelle. Elle ne voit pas en lui le bloc désagréable et méprisant qu'il affiche, ou ne semble en tout cas pas dérangée par ce caractère que beaucoup n'apprécient pas. À ses yeux à lui, elle est un vent de fraîcheur dans la communauté des Shepherds, voire dans sa vie personnelle. Clay DarrelNés de parents amis, les deux humains ne sont séparés que de quelques mois. Très tôt, ils fréquentent la même sphère, les mêmes écoles, pratiquent les mêmes activités extrascolaires. Les projets qu’ont leurs familles respectives sont plus que similaires. D’abord amis, puis très bons amis, ils sont rapidement inséparables. Entre eux, pas de faux semblants, pas de niaiseries, et c’est bien ce qu’ils aiment l’un chez l’autre. Cette relation transcendante leur donne parfois l’impression que sans l’autre, l’existence est fade. Seulement voilà, chacun prend brusquement de bien différentes positions concernant les CESS. L’une les hait, l’autre souhaite rejoindre leurs rangs. La césure entre eux est brusque, ils ne se comprennent soudain plus après des années de fusion. Jayden GrahamJournaliste et membre des forces du Pasua, ils se sont croisés de multiples fois devant les locaux de la police. Ce qui était un flirt et quelques nuits entre adultes s'est lentement transformé en espionnage quand ils ont appris l'occupation de l'autre. Sienna est intéressée par la fenêtre sur le Pasua que pourrait être Jayden, alors que lui-même enregistre mentalement les informations que la jeune femme donne sur le mouvement Shepherd, bien qu'il ne sache qu'en faire. |
| | | | | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |