Ocean Eyes [Archie]

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2/3/2023, 17:32 (#)


ocean eyes
Amelia & Archie



Le sang goutte, perle après perle vermeille qui s’égare et se perd. Le souffle est court, saccadé. Une bête traquée. Une bête prédatrice qui se retrouve proie. Elle sait que si elle s’arrête, elle est perdue. Le cœur bat la chamade, la pousse, la tire vers la vie. L’instinct de survie la porte, malgré la douleur des plaies qui parsèment son corps meurtri. L’argent est un poison qui s’infiltre dans son sang, empêchant ses blessures de se refermer. La douleur irradie, se faufile, perverse et vicieuse. Sa volonté de fer flanche, trébuche sur l’obstacle de ce corps. Elle est une cible. Mais elle est plus que cela. Elle n’est pas n’importe quelle louve. Elle peut survivre. Elle doit survivre. Pas seulement pour elle-même mais aussi pour les autres, pour les siens. La Meute compte sur elle. Joaquin a besoin d’elle comme elle a besoin de lui. Elle ne peut les laisser tous et renoncer. Ce n’est juste pas envisageable. Ce n’est pas une option. Elle qui s’était arrêtée un bref instant pour reprendre son souffle se redresse, le regard déterminé malgré la souffrance qui s’y lit. Allez, Amélia, lève-toi. Lève-toi. Tu peux le faire. Elle sent ses côtes s’écarter en rythme de sa respiration. Serrant les dents, elle regarde autour d’elle. Ses sens lui permettent de détecter la présence ennemie non loin d’elle. Ils sont quinze à lui être tombée dessus, masqués. Comment, pourquoi, elle l’ignore. Comment l’ont-ils pris pour cible ? Elle mènera l’enquête le temps venu. Elle doit d’abord se tirer de ce guêpier. Le bruit l’alerte. Elle ne peut plus rester ici. La nuit est noire, la lune nouvelle. Sa Bête se secoue mais elle parvient encore à la tenir. La peur est là mais contrôlable. Elle a connu pire.

Ne pas se faire voir. Le quartier fourmille d’activités, malgré l’heure tardive. C’est le quartier étudiant, plein de bars et de boîtes que fréquentent les jeunes humains. Elle ne doit pas attirer l’attention. Les hommes à ses trousses ne s’embarrasseront pas de tant de délicatesse. Ils sont là pour la tuer, ni plus ni moins. Elle se sait plus forte, plus puissante mais l’argent l’affaiblit, sape sa force. Elle doit les semer au plus vite. Elle reprend sa marche, courant légèrement quand elle le peut, quand elle est seule. Elle choisit les ruelles les plus sombres et les moins fréquentées et évite les grands axes. Elle entend la meute à ses trousses. Dans une ruelle étroite, elle s’arrête net. L’odeur la frappe de plein fouet. Proche. Beaucoup trop proche. Deux formes sombres apparaissent devant elle, lui barrant l’accès. Les visages sont dissimulés par des masques, l’un arbore une batte de baseball, l’autre une arme blanche. Elle devine la lame badigeonnée d’argent. La même que celle qui lui a infligé ce genre de blessures. Elle entend le reste du groupe se presser derrière elle. Elle est piégée. La seule issue est devant. Elle se redresse, murmurant d’une voix grondante : Laissez-moi passer. Les deux hommes éclatent de rire et s’avancent. Elle se sent faible et pourtant, elle fait face. Elle laisse de la place à sa Bête qui gronde et, avide de sang, souhaite arracher la gorge des imprudents. Elle laisse sa colère l’envahir. Se campant sur ses pieds, elle écarte les mains et laisse voir sa forme glabro. Ses crocs s’allongent, ses griffes sortent de ses doigts, ses jambes se modifient légèrement, ressemblant davantage à des pattes de loup. Un grondement sort sortit de sa bouche tandis que les deux hommes se ruaient sur elle. Elle lança un violent coup de griffe dans le visage du premier qui hurla, sa peau lacérée par le coup. L’autre s’était glissée derrière elle et elle sentit le poignard s’enfoncer dans sa chair, sur son flanc droit. Elle pivota et se jeta sur l’homme, les crocs se plantant avec violence dans la gorge. Elle sentit le goût du sang, le goût de la chair et relâcha son étreinte quand elle reconnut le soubresaut de l’agonie chez sa victime. Elle ne s’attarda pas et, reprenant sa forme humaine, tâchée de sang, à la fois le sien et celui de ses agresseurs, elle reprit sa course, le souffle court.

Arrivant dans des rues qui lui semblaient familières, elle savait où elle était. Eperdue, elle continua de marcher, son pas ralentissant dangereusement de plus en plus. Elle entendait le haro derrière elle, le groupe ayant dû trouver les deux corps derrière elle. Ils ne tarderaient plus à la rattraper. Elle arriva devant une façade qu’elle connaissait bien. Le visage crispé sous la douleur, elle tendit la main et sonna. Je t’en prie… Je t’en prie, réponds…. Réponds, Archie… Elle sentait l’odeur des hommes de plus en plus près. Ils allaient la trouver. Ils n’étaient plus qu’à une rue d’elle. La tête lui tournait et elle se sentit basculer en avant quand la porte s’ouvrit sur elle et se referma ensuite. Elle sombra dans l’obscurité.

Quand elle rouvrit les yeux, elle était étendue dans un lit et une odeur de produits désinfectants lui attaqua l’odorat. Elle se sentait un peu mieux, ses plaies semblaient en voie de guérison, pour autant qu’elle put en juger. Elle referma les yeux et murmura : Archie ?
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Cannot a Beast be tamed
Archimède O'Connell
Archimède O'Connell
Cannot a Beast be tamed
⩥ BLACKBIRD ⩤

"In order to see birds it is necessary to become a part of the silence."

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En un mot : Animal.
Qui es-tu ? : ⩥ Métamorphe. Il a grandi sur le sol de Shreveport, entouré par sa vaste famille et son clan étendu.
⩥ Force tranquille. Il est toujours prêt à servir d'appui à ses proches, ne se reposant sur eux que très rarement.
⩥ Parfois complexé par sa forme totémique, il s'en accommode de mieux en mieux au fil des ans.
⩥ Passionné. Il aime les choses pleinement, entièrement, d'une manière très honnête. Son travail, son chien, ses bécanes, ses amantes.
⩥ Fumeur. Il tente désespérément d'arrêter depuis des années.
⩥ Casanier. Il aime sa maison, il aime sa ville et il est profondément heureux d'avoir pu, enfin, retrouver la Louisiane après des années d'exil dans le Nord.
⩥ Grand passionné de mécanique, il passe son temps libre à retaper de vieilles motos dans son garage.
⩥ Colérique. Il n'aime pas la colère, se méprise de ne pas être capable de contrôler ses émotions avec plus d’acuité.
⩥ Vétérinaire. Il tient une clinique avec Jonathan, son réceptionniste, qui sert également d'hôpital pour thérianthrope et garou à la nuit tombée.
⩥ Grand Amateur de whisky, il en possède une collection impressionnante.
⩥ Il a récemment adopté un pitbull qu'il a nommé Orion.

"SINGING IN THE DEAD OF NIGHT"

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Facultés : ⩥ Totem, Petit-Duc Maculé.
⩥ Première Chasse Sacrée sur un Carcajou.
⩥ Envisage vaguement une seconde Chasse.
⩥ Maîtrise parfaite de nombreuses techniques de combat au corps à corps.
Thème : Blackbird - Boyce Avenue
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⩥ TAKE THIS BROKEN WINGS ⩤


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"And learn to fly"

Pseudo : Akhmaleone
Célébrité : Keanu Reeves
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Crédits : Corvidae (Ava) Pando (Icon)
24/7/2023, 21:24 (#)


( Ocean Eyes )


Encore affalé contre le bord de la fenêtre, je jette un oeil noir vers le ciel vide de Lune. L’astre argenté n’est pas là pour me narguer de sa lumière cette nuit, mais son poids sur mon échine et les frissons qu’il fait courir le long de mes membres n’en sont pas moins présents. Je suis là depuis déjà une heure à lutter contre la transformation. Mon corps, mon âme, me hurlent qu’ils en ont besoin, qu’il me faut revêtir plumes ou poils et parcourir la campagne. Le carcajou s’outre de ne pas surveiller son territoire, le hibou pleure le vent dans ses plumes. Mais ce soir, ce soir, je m’adonne à mon passe-temps destructeur préféré depuis la perte d’Hena.

Plus addictif que toute la nicotine dont je tapisse mes poumons, que les litres de whisky que j’engloutis pour remplacer la brûlure de sa disparition par celle de l’alcool, la douleur d’une transformation refusée court le long de mes terminaisons nerveuses et les enflamme. Je lâche un grognement quand la vague enfle, gonfle, du creux de mon ventre jusqu'à la pointe de mes ongles.  

Le son strident de l’activation de mon interphone me fait sursauter et me tire violemment hors de la transe dans laquelle je suis plongé. La transformation manque de m’échapper et pendant quelques secondes j’oscille entre mes différentes formes. Les serres se battent contre les griffes et c’est finalement la sensation du parquet sous mes doigts qui me rappelle à ma prison de chair. Avec une grimace et un soupir, je secoue la tête et cligne des yeux. Putain, ce que j’ai mal.

Un nouvel ahanement peiné me voit déplier ma carcasse et me redresser en tanguant. C’est d’un pas lourd que j’avance jusqu’à l’appareil qui sonne et sonne encore. Sur le minuscule écran, le visage familier de la Lupa de la meute s’affiche. Mais loin du sourire mutin qui étire ses traits d’ordinaire, c’est la douleur et la terreur qui marquent son visage. J’active l’ouverture de la porte et observe sa silhouette disparaître dans l’embrasure. J’ouvre celle de mon appartement d’un geste sec et attend. Le silence, plein d’écho, de la cage d’escalier ne me rassure en rien et c’est avec un juron que je dévale les quatre étages qui me sépare du hall d’entrée.

Elle est là.

Allongée dans une flaque de son propre sang qui ne donne pas signe de disparaître, la garou respire péniblement. La panique enfle au creux de mon ventre et je soulève sa silhouette fluette entre mes bras. Je jette un regard vers les escaliers mais décide d'appeler l'ascenseur. L'ascension des quatres étages avec son poids m’épuiserait et j’ai la vague impression que j’aurais besoin de toute mes forces pour prendre soin d’elle.

Elle laisse derrière nous une traînée de gouttelettes carmines qu’il me faudra nettoyer le plus rapidement possible si je ne veux pas encore me prendre des reproches de la part des voisins. Il faudrait vraiment que j’emménage dans la baraque de Jer’. Il y a largement la place pour moi, mais son bunker surprotégé m’éloignerait trop de la clinique et de la ville. J’ai besoin d’avoir un pied dans le bitume pour pouvoir aider Odelia et l’Arch quand c’est nécessaire.

Une fois dans l’appartement, j’allonge Amelia sur le carrelage blanc de ma salle de bain et m’empresse de l’osculter. Ses fringues finissent en tas dans un coin de la pièce et j’observe les deux blessures à l’arme blanche qui marque sa peau pâle. Sa nature aurait déjà dû coaguler en partie le sang. Un ronchonnement mécontent m’échappe et j’attrape mon téléphone. La sonnerie retentit trois fois avant qu’une fois endormie me réponde. « Daphné, j’ai un de tes loups sur le carrelage de ma salle de bain. »

La rapidité avec laquelle la Vargamor se réveille me tire un sourire. « Amelia. Deux plaies à l'arme blanche. Ça coagule pas, j’ai un pouls mais faible, sa peau est super pâle et elle a de la fièvre. » J’écoute les conseils de la chamane, récupère les onguents et potions qu’elle m’a donné de bon cœur quand elle a compris que je m’occupais parfois des siens quand elle n’était pas disponible. « OK, je fais ça. Je tiens au courant, t’inquiète. Tu ferais bien de prévenir Joaquin, ouais. C’est chaud que la Lupa se soit fait attaquer comme ça. Tu me redis ? Merci. » La communication se termine et je m’occupe avec précipitation des plaies suintantes d’argent de la Louve. Les potions de Daphné me permettent de calmer les choses, mais il faudra des jours à la jeune femme pour se remettre de ce genre d’attaque. Je jure en appliquant les straps sur la plaie avant de caresser doucement du pouce son ventre nu. Pauvre gosse. Encore si jeune et déjà abîmée par une vie qui ne nous veut que du mal.

Je m’empare rapidement d’un t-shirt à moi dans lequel je glisse ses bras avant de la poser dans mon lit pour la laisser cuver les potions et l’intoxication à l’argent. Je profite de son sommeil pour nettoyer les parties communes de mon immeuble et mon salon. L'image de mes paumes couvertes de sang me ramène à la nuit d’Halloween et c’est la voix de la garou qui me sort de la crise qui me menaçait.

Je me propulse vers la chambre avec rapidité en essuyant mes mains encore humide sur mon jean avant d’ouvrir la porte. « Hey, j’suis là. »
Elle à l’air ridiculement petite entre mes draps bleus et je me laisse doucement tomber sur le matelas près d’elle. « Comment tu te sens ? Essaie même pas de dire bien, j’te croirais pas, c’est moi qui me suis chargé de garder tes entrailles à l’intérieur de ton bide. » Je repousse d’une main légère une mèche qui s’accroche à son front avant de prendre le verre d’eau et les analgésiques magiques que j’ai laissé sur la table pour elle. « Tiens, bois un peu et avale ça, ordre de ta Vargamor. »

Je la regarde faire avec un petit sourire et récupère le verre une fois qu’elle l’a vidé. « Bon, raconte, il s’est passé quoi ? »




( Pando )
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30/7/2023, 19:51 (#)


ocean eyes
Amelia & Archie



La tiédeur du sommeil est divine. Enfoncée dans un univers cotonneux, elle ne sent plus son corps ni sa douleur lancinante. Ses pensées dérivent, s’attardent un bref instant sur des souvenirs fanés. Ses parents. La Meute. Sa première union avec sa Bête. Elle la sent confusément remuer dans son esprit, tenter d’utiliser sa force pour soigner ce corps humain. Mais quelque chose l’en empêche, brise son pouvoir régénérateur. Elle revoit également Connor enfant qui éclate de rire puis son corps adulte ensanglanté, étendu sans vie, sa sœur Joan au-dessus de lui, hurlant son désespoir. La Grande Révélation, sa colère. Tout se mêle sans qu’elle puisse savoir si elle dort encore ou si elle est éveillée. Une sensation de confusion de mélange. Parfois, elle perçoit un visage dans tout cela. Un visage qu’elle connaît très bien. Fin, les joues mangées par une barbe de trois jours, le regard ténébreux et des cheveux qui tombent en mèches noires autour de son front. Ce visage, elle le connait depuis qu’elle est en âge d’avoir des souvenirs. Souvenirs qui reviennent s’imposer à elle. Archie qui se transforme et s’envole à tire d’aile, tandis qu’elle court sous sa forme de louve à sa poursuite. Archie attablé avec elle, riant et trinquant à elle ne se souvenait quelle bonne nouvelle. Les larmes coulant sur ses joues à elle lorsqu’elle avait appris son départ.

Elle ouvre les yeux. Le plafond blanc la happe et elle a du mal à faire la mise au point. Où est-elle ? Son esprit, encore englué de ses souvenirs, est confus, cherche une cohérence à tout cela. Finalement, avec une lenteur exaspérante, quelques éléments lui reviennent. Les hommes masqués. La porte d’entrée d’Archie. Comment elle s’est effondrée dans son hall d’entrée. Elle sent l’étirement de ses tissus mais elle perçoit que l’argent n’empoisonne plus son corps. Ses yeux revenant sur elle, elle se rend compte que le t-shirt qu’elle porte, trop large, n’est pas le sien. Une odeur vient à ses narines qui frémissent. Archie. Son odeur imprègne le tissu. Une odeur rassurante, enivrante. Elle est bien chez lui. Elle commence à remettre tout dans le bon ordre et reconnaître les lieux. Elle se trouve dans sa chambre, allongée dans son lit. La voix d’Amélia, faible au début, rompt le silence pour prononcer le nom d’Archie. En quelques secondes à peine, la porte s’ouvre et le changeur entre dans la pièce, le regard inquiet. Un sourire rassurant s’étire sur les lèvres de la louve. Il se jette littéralement sur le lit à ses côtés, prenant garde de ne pas l’écraser et lui demande comment ça va.

On ne peut pas dire que je sois au mieux de ma forme, je le reconnais, mais on fait aller. Merci pour tout, Archie.

Son visage inquiet la touche et remue en elle de profonds souvenirs. La fatigue lui vrille les tempes. L’intoxication à l’argent est extrêmement dangereuse pour les lycans et la laisse faible, ce qu’elle n’aime pas. Ce n’est que parce qu’elle est avec Archie qu’elle ne tente pas de cacher cette faiblesse. Elle se sent suffisamment en confiance pour le montrer et la Lupa de la meute ne se laisse pas souvent aller, c’est peu de le dire. Il tend la main et effleure sa peau pour écarter une mèche rebelle. Un frisson lui parcoure l’échine sans qu’elle puisse l’expliquer. Ce n’est pas la première fois qu’ils se touchent, étant amis proches, ils se font la bise, se touchent l’épaule etc… Mais là, il se passe autre chose en elle. Elle se reconcentre sur ce que lui dit Archie et attrape de mauvaise grâce le verre qu’il lui tend. La Vagamor est son amie et elle est capable de lui pourrir la vie si elle n’a pas suivi ses instructions. Elle avale la boisson et grimace au contenu amer. Elle secoue la tête et répond aux interrogations d’Archie.

Je finissais le boulot et j’allais rentrer chez moi. Je me suis fait suivre et j’ai senti leur odeur très rapidement. Au lieu de les emmener jusqu’à chez moi, j’ai bifurqué pour rejoindre les quartiers de Western Hill mais ils me sont tombés dessus. Ils devaient être une quinzaine, tous masqués. Impossible de connaître leur nature mais après m’être battue avec eux, je pencherai pour des humains miliciens anti-CESS. Je ne suis pas sûre qu’ils savaient à qui ils avaient affaire. Ils savaient que je suis lycan bien sûr, sinon ils n’auraient pas utilisé d’argent. Mais j’espère qu’ils ne savent pas que je suis la Lupa…

Son cerveau embrumé fit soudain le lien et elle tenta de se relever en grimaçant sous la douleur.

Oh la vache, il faut prévenir Joaquin ! S’ils savent qui je suis, leur prochaine cible, ce sera l’Ulfric ! Je dois aller le prévenir.   
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